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Ovaline – Chapitre 7 : Quand la femme fontaine se dévoile

Publié le lundi 08 septembre 2025 dans « Ovaline »


Ovaline – Chapitre 7
Ovaline – Chapitre 7 : Quand la femme fontaine se dévoile

Il est 8 heures lorsque je raccompagne Pauline à la porte d’entrée. Elle doit se hâter : ses cours à l’université de Chiang Mai commencent à 8h30. Elle risque d’être en retard. Moi, j’ai le loisir de prendre mon temps. La galerie d’art ouvre à 9h30, et personne ne me rappellera à l’ordre si j’arrive quelques minutes après l’heure.

Je passe dans la cuisine pour me préparer un second café, ce rituel simple qui me procure tant de plaisir. Immobile, je savoure la première gorgée, le regard perdu au-delà de la fenêtre. Un bout de pelouse un peu sauvage, quelques arbres et feuillages ouvrent leur écrin au sentier qui conduit à l’extérieur de notre paisible havre de paix niché au cœur de Chiang Mai. Soudain, un signe familier capte mon attention : Pauline me fait un dernier au revoir de la main. Resplendissante dans son uniforme d’étudiante, sa longue queue de cheval danse au rythme de ses pas. Je devine que la nuit que nous avons partagée ajoute une lumière particulière à son sourire radieux. Je lui réponds par un baiser que je mime avec mes lèvres, puis je murmure à voix haute : « Je t’aime. » Sa réponse, douce et spontanée, résonne en retour : « Moi aussi. » Avant de s’enfuir en courant, emportée par le temps qui presse. La pauvre va arriver en retard. Je n’aurais peut-être pas dû faire l’amour avec elle au réveil…

Ce matin, dans l’intimité partagée, Pauline m’a confié que c’était la première fois qu’elle trempait sa queue dans un vagin ou un anus. Jusqu’alors, ses seules expériences sexuelles s’étaient limitées à de la masturbation mutuelle avec son petit ami au lycée. Cette révélation a ajouté de l’excitation à notre complicité naissante, comme si nous découvrions ensemble des territoires inconnus. Je dois avouer que je ressens pour elle un amour fraternel, teinté d’une folie douce : rêver de vivre toujours dans une maison à côté de la sienne, la voir débarquer chez moi en douce, pour qu’on s’abandonne à nos désirs, encore et encore.

Je souris en repensant à la manière dont j’ai invité Pauline à me rejoindre dans ma chambre hier soir. J’ai aimé l’instant où elle m’a prise en me pénétrant par-derrière. Je la revois trembler, fragile comme une feuille, ses petits couinements maladroits trahissant sa nervosité palpable lorsque sa verge s’est glissée trop vite dans mon anus resserré, provoquant une jouissance prématurée. C’était la première fois que j’accueillais une vraie bite dans mon cul, mais la précocité de son éjaculation n’a pas réussi à réveiller la fontaine en moi. Je n’éclabousse pas de plaisir à chaque fois, tout dépend des partenaires, de mes envies, du moment… Chaque expérience est unique. Mais j’ai remarqué qu’à chaque fois que la fontaine se manifestait, un doigt ou un godemichet pénétrait mon petit trou, comme si cette exploration intime ouvrait un canal secret vers cette source cachée de plaisir. Jusqu’à présent, cette libération en cascade ne s’est manifestée que deux fois, et je rêve secrètement que Pauline saura un jour déclencher cette troisième fois, faire jaillir de nouveau cette vague de plaisir inouï.

J’avale une gorgée de café, alors que mes pensées vagabondent vers la première fois où j’ai découvert que j’étais une femme fontaine. C’était avec Angela, ma meilleure amie à l’université.

À l’époque, j’habitais chez mes parents à Hang Dong, une charmante localité située à proximité immédiate au sud de Chiang Mai. J’avais 18 ans et je venais d’entamer ma première année à la faculté des langues étrangères de l’université de Chiang Mai. Angela, elle, avait un an de plus et était en deuxième année. Elle m’avait repéré lors du cours de chant que nous suivions ensemble après les cours du mercredi, et elle n’a pas caché ses intentions.

Je me souviens de son corps finement sculpté, de sa peau satinée d’un caramel délicat, de ses épaules fines, de son ventre plat, de sa taille élancée et de ses hanches harmonieuses. Ses jambes longues se terminaient par des pieds gracieux. Son visage, encadré par de longs cheveux lisses coupés en un dégradé subtil qui caressait ses épaules, rayonnait d’une beauté singulière : ses pommettes légèrement saillantes, ses yeux noirs profonds et malicieux, son adorable petit nez, ses lèvres pleines d’un rose naturel, à la fois sensuelles et innocentes, et ce sourire à la fois doux et troublant. Ses seins généreux, ronds et fermes, semblaient gorgés de lait, tandis que son sexe infantile, soigneusement rasé, arborait un gros clitoris, presque comme un micropénis. Mais ce dont je me souviens le plus, c’est de sa langue, d’une longueur démesurée, capable de toucher le bout de son nez.

Angela était canon, populaire, et il était de notoriété publique qu’elle était lesbienne. Une gouine pure et dure, contrairement à moi qui naviguait à voile et à vapeur. À peine entrée en deuxième année à l’université, elle avait rejoint les pom-pom girls, chargées de soutenir l’équipe de football lors des rencontres inter-universitaires. La première fois qu’elle m’a adressé la parole, c’était à la cantine. Elle avait décidé de me prendre sous son aile, me confiant que ma beauté lui semblait unique. Plus tard, avec une douceur teintée de curiosité, elle m’a demandé de quel côté battait mon cœur, si je préférais les garçons ou les filles. Je me suis mise à bafouiller, avouant mon inexpérience, mais aussi cette attirance diffuse pour les deux sexes. En gros, je me cherchais encore, et je n’étais pas certaine, un jour, de pouvoir me trouver…

Elle m’a présenté alors Chairat, un joueur de football en troisième année. Je n’éprouvai pas d’amour pour lui, mais j’avais vu dans les films américains ces filles superbes qui sortaient avec les sportifs… Peut-être voulais-je simplement m’aventurer sur ce chemin, ou peut-être était-ce une manière de me mesurer aux autres, de susciter une certaine jalousie. Je n’en étais pas sûre. J’étais sans doute un peu perdue, surtout que mes amies parlaient librement de leurs expériences sexuelles, tandis que je n’avais connu qu’un baiser furtif avec Pol, le garçon que je baby-sittais à l’époque.

Un soir, poussée par une curiosité mêlée d’appréhension, j’ai suivi Chairat dans les vestiaires désertés du stade. Je n’avais jamais exécuté de fellation auparavant, et je voulais savoir quel goût avait une bite, l’effet que produisait une queue enfoncée dans ma bouche. Je m’étais même demandé quelle saveur avait le sperme ! Alors j’ai entrepris de le sucer jusqu’à ce qu’il m’éjacule dans la bouche. J’ai tout avalé. J’y ai trouvé une pointe d’amertume mêlée à une saveur lactée et crémeuse, avec une douceur subtile en arrière-goût. J’ai aimé la sensation. Mais une semaine plus tard, j’ai appris que Chairat s’était épris d’une fille de la faculté des sciences.

Abandonnée et triste, je me suis réfugiée dans les bras d’Angela. Seules dans une classe après les cours, elle m’a consolée avec la tendresse d’une sœur. Je me souviens de ses bras câlins qui m’enlaçaient, des mains qu’elle glissait tendrement dans mes cheveux, puis des baisers qu’elle déposait sur mes joues humides de larmes. Lentement, ses lèvres se sont rapprochées des miennes, les effleurant avec une douceur infinie. J’aimais l’odeur qui émanait d’elle, florale et apaisante. Elle a caressé mes lèvres avec sa langue, jusqu’à ce que j’ouvre ma bouche pour l’accueillir. J’ai été surprise par sa longueur, par la manière dont elle explorait chaque recoin de ma bouche. On s’est embrassées fougueusement, mélangeant nos langues, nos haleines, nos salives, sans retenue. Entre deux baisers profonds, elle me susurrait à quel point je sentais bon. Tour à tour, nous nous sommes sucé la langue. Moi je tétais la sienne, si longue, si délicieuse. Puis, soudain, sans prévenir, elle m’a agrippée les cheveux pour relever ma tête. Penchant son visage au-dessus du mien, elle a laissé couler sa salive sur mes lèvres. Excitée, j’ai ouvert grand la bouche pour accueillir ses doux crachas, me délectant de ce nectar dans de doux gémissements.

Dans les jours qui ont suivi, Angela m’a proposé de l’accompagner partout : au club de chant, à la bibliothèque, à ses entraînements de pom-pom girl. À chaque instant, je sentais son regard peser sur moi, un regard doux mais insistant, qui cherchait à percer un mystère que je ne comprenais pas encore moi-même.

Un soir, après une répétition tardive, Angela m’a invité chez elle sous prétexte de m’offrir un thé au jasmin. Elle habitait une jolie maison dans le quartier de Santitham. Sa chambre était soigneusement décorée, pleine de coussins colorés, de photos polaroid et de guirlandes lumineuses. L’air sentait la vanille et quelque chose d’indéfinissable, de plus charnel. Nous nous sommes assises sur le lit, nos genoux se frôlant à peine.

Au bout d’un moment, Angela a commencé à se déshabiller devant moi avec une assurance déconcertante, sans un mot, sans attendre ma permission ni sonder mon regard. Elle a retiré d’abord son chemisier, dévoilant ses épaules nues et sa peau satinée. Puis, lentement, elle a glissé ses mains sur sa jupe qu’elle a fait tomber au sol, laissant apparaître ses jambes fines et élégantes. Son soutien-gorge a suivi, révélant ses seins généreux, lisses et onctueux. Enfin, elle a ôté sa culotte bikini, fine et séduisante, ornée d’un triangle transparent délicatement brodé sur le devant, là où son vagin, rasé avec soin, dessinait une fente délicate, tendre et invitante, seul en sortait son micropénis, tendu et rougeoyant. Se tenant là, nue devant moi, elle a glissé une main experte sous ma jupe, a écarté ma culotte, et a recueilli avec douceur le liquide qui perlait entre mes jambes. « Regarde, ma chérie, comme tu dégoulines, m’a-t-elle dit d’une voix basse et envoûtante, vois comme ma nudité t’excite. » Et c’était vrai : j’étais complètement trempée, au point que mon propre désir perlait le long de mes cuisses, laissant une trace ardente et humide sur ma peau.

Dans la pénombre de sa chambre, Angela a pris son temps, comme une artiste attentive. Après m’avoir dévêtue et allongée sur le lit, elle a parcouru de sa langue chaque parcelle de mon corps avec une délicatesse exquise. Ses lèvres effleuraient les miennes, mêlant tendresse et désir, ses baisers me brûlaient. Ses mains glissaient sur mes seins, les caressant, les pressant avec une attention presque révérencieuse. Au bout d’un moment, elle est descendue lentement, déposant ses baisers sur mon ventre, mes cuisses, avant de s’attarder sur mes zones les plus intimes, explorant à la fois mon sexe et mon anus. Ventousant sa bouche à mon vagin, elle y a enfoncé sa langue profondément, m’offrant un cunnilingus d’une intensité inouïe. Dans le même temps, elle a glissé un doigt humidifié de sa salive avec douceur dans mon petit trou noir encore mystérieux, éveillant en moi des sensations profondes que je n'oublierais jamais.

Peu à peu, l’ondulation de sa langue et son doigté exceptionnel m’ont emporté vers un abîme de plaisir. Mon corps se tendait, se convulsait, et soudain, j’ai jailli comme une fontaine, éclaboussant les draps, le visage d’Angela, sa langue encore profondément ancrée dans mon vagin. Surprise et aux anges, elle a bu mon jus avec avidité, comme pour s’approprier mon plaisir. Je poussais des cris mêlés de surprise et d’extase, emportée par cette vague inattendue, tandis qu’Angela savourait ce cadeau liquide, complice et émerveillée.

Quand la fontaine s’est apaisée, Angela, la bouche pleine de mon liquide précieux, s’est approchée de mon visage. Lentement, elle a laissé couler ce nectar dans ma bouche avant de m’embrasser goulûment, scellant ainsi notre complicité dans un baiser incandescent.

— Ma chérie, je crois que tu es une femme fontaine ! s’est-elle exclamée en décollant ses lèvres des miennes, un large sourire illuminant son visage encore ruisselant de notre étreinte. Je lui ai demandé, curieuse : « C’est quoi, une femme fontaine ? » Elle n’en était pas totalement sûre, alors, enlacées, nos jambes et nos corps mêlés, nos seins collés l’un contre l’autre, nos longs cheveux emmêlés, nous avons pris sa tablette pour effectuer une recherche.

Angela a lu tout haut, pleine d’enthousiasme : « Une femme fontaine, c’est une femme qui émet un liquide en quantité importante au moment du plaisir… » Sa voix trahissait une excitation contenue. Elle s’est alors amusée, taquine : « Tu crois qu’on peut boire le jus d’une femme fontaine ? » Elle a ri, les yeux pétillants. « Parce que toi, tu as éjaculé dans ma bouche, et moi, j’en ai bu ! »

Nous avons lancé une nouvelle recherche, impatientes d’en savoir plus. Angela a lu d’une voix douce et espiègle : « Oui, il est possible de boire le liquide émis par une femme fontaine. Ce fluide, expulsé par l’urètre lors de la stimulation sexuelle intense, provient principalement de la vessie et contient essentiellement de l’urine diluée… Ce liquide est généralement clair, inodore ou légèrement neutre, et n’est pas considéré comme dangereux à ingérer dans un contexte intime entre partenaires consentants. » Nos rires complices ont résonné, emplis de cette joie folle d’avoir découvert ensemble un secret enivrant, complices et fascinées par ce qui venait de se passer entre nous.

C’est avec Angela que j’ai appris ce qu’être une femme fontaine signifiait vraiment. Mon corps avait débordé d’un plaisir si intense qu’il ne pouvait plus se contenir. Ce flot clair, jaillissant de mon urètre, n’était ni honte ni faiblesse, mais la preuve vivante que le plaisir féminin est une source profonde, mystérieuse, magnifique. C’était un cadeau que j’ai appris à accueillir et à célébrer, une part de moi que je ne cacherai plus jamais.

Nous étions devenues meilleures amies, inséparables, jusqu’au jour où Angela est partie à l’étranger pour poursuivre un master. C’est elle qui m’a appris qu’une fille pouvait très bien se suffire à elle-même, qu’elle n’avait pas besoin d’un homme pour exister ou se sentir complète. J’aime les filles, j’ai aimé Angela, mais moi, au fond, j’ai toujours eu le sentiment qu’il manquerait quelque chose aux femmes : une bite, une queue, un corps apte à la pénétrer. Les doigts, c’est bien, mais il manque cette intensité charnelle que seule une vraie verge peut offrir. Je n’ai jamais pu effacer le goût de la bite de Chairat dans ma bouche, le goût salé et légèrement amer de son sperme qui avait giclé au fond de mon gosier. Je désirais à nouveau me faire baiser, sentir la vigueur d’une queue glisser en moi et rallumer ce brasier qui ne s’éteignait jamais…

Une dernière gorgée de café me ramène à la réalité. J’ouvre les yeux et pose la tasse dans l’évier, je la rincerai plus tard. Je regagne ma chambre et m’apprête à affronter la journée. Je choisis mes vêtements avec soin. Aujourd’hui, j’enfile un crop top crème, moulant, à manches courtes, qui s’arrête juste assez haut pour laisser apparaître mon nombril. Je complète avec un pantalon de jogging ample, retenu à la taille par un simple cordon, dont la souplesse accompagne mes mouvements avec désinvolture. Aux pieds, je glisse mes baskets blanches épaisses, dernières touches d’un ensemble qui marie confort et assurance.

Dehors, le ciel est couvert, mais quelques rayons de lumière percent à travers les nuages pour se refléter sur les feuilles des arbres. Je prends une profonde inspiration et pars travailler.

Fin de ce chapitre

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Le nombre total de chapitres du roman Ovaline reste encore inconnu : ce livre se construit au fil du temps, façonné par vos désirs et ceux de l’écrivaine. Laissez libre cours à votre imagination : dans les commentaires, partagez vos envies, vos fantasmes, vos suggestions de rencontres ou d’aventures érotiques. Peut-être retrouverez-vous vos scènes rêvées dans les chapitres à venir, tissés au fil des désirs et des confidences.



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Justin Posté le vendredi 12 septembre 2025 à 01:37:16
Toujours aussi bon. Je suis l'aventure fidèlement.

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