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Ovaline – Chapitre 5 : Offrande anale sous la mousson

Publié le lundi 11 août 2025 dans « Ovaline »


Ovaline – Chapitre 5
Ovaline – Chapitre 5 : Offrande anale sous la mousson

Je quitte la galerie d’art à la tombée du jour, laissant derrière moi les effluves de vernis à bois, les éclats feutrés des toiles vernissées et les murmures assoupis des derniers visiteurs. L’air intérieur, saturé de pigments et de conversations suspendues, s’étiole dans mon dos alors que je franchis la porte. Je salue mes collègues d’un léger signe de tête. Parmi eux, il y a Ploy derrière le guichet d’accueil. Elle se tourne vers moi avec un sourire éclatant, un de ces sourires qui s’étirent un peu trop longtemps pour être anodins. Sa main fine se lève dans une salutation un peu trop enthousiaste. Ploy a vingt-six ans. Belle à sa manière, douce et solaire, elle dégage une grâce un peu sauvage, jamais apprivoisée. Elle est lesbienne, et je sais – sans qu’elle ne l’ait jamais dit – qu’elle nourrit pour moi un sentiment plus tendre, plus trouble, plus complexe qu’une simple amitié professionnelle. Je lui rends son sourire. Rien de trop, juste ce qu’il faut pour ne pas feindre l’ignorance, sans pour autant nourrir l’espoir.

Dehors, il tombe une pluie tranquille.

J’aime ces instants où la ville bruisse doucement, où chaque ruelle laisse filtrer un parfum de gingembre et de coriandre. J’avance d’un pas léger vers le marché, guidée par les effluves de satay grillé, les esquilles d’éclairs de papaye verte et la chaleur du riz qui s’élève en bouffées étroites. Le marché crépite de vie, abrité sous ses bâches multicolores, les paniers débordent de fruits mûrs, de feuilles de bananier, de fleurs de lotus fanées. Je m’arrête à une échoppe de nouilles, commande un bol brûlant que je savoure sous un parasol dégoulinant d’eau.

Repue, je rentre chez moi, le parapluie ruisselant, frôlée par la nuit qui descend sur Chiang Mai. La maison familiale m’accueille dans la pénombre, calme et familière. Je monte l’escalier. Une fois dans ma chambre, je laisse tomber mes vêtements un à un : ma robe fleurie glisse le long de mes cuisses, puis mon string, minuscule abandon de dentelle sur le parquet brun. Je me douche rapidement pour débarrasser mon corps de la moiteur de la journée. L’eau glisse sur moi en un rideau tiède, emportant fatigue et sueur. D’un geste ample, j’essuie ma peau avec la serviette, puis me brosse les dents devant le miroir embué.

Fraîche et détendue, je m’étends nue sur le lit.

La lumière de mon téléphone clignote. Un message d’Alex : « Bonne nuit Ovaline. Je pense à toi. » Je souris, le cœur chaviré par la douceur inattendue de ses mots. Je lui réponds, laissant courir mes doigts sur l’écran : « Bonne nuit Alex… Tu me manques déjà. » Un instant, je reste immobile, le téléphone posé sur mon ventre. La tête callée sur un oreiller, je fixe la fenêtre, attentive à la trace feutrée de la pluie contre les vitres.

Peu à peu, mon esprit se trouble, se laisse envahir par la silhouette d’Alex. J’ai du mal à y voir clair, à faire le tri dans la foultitude de pensées diverses qui me traversent l’esprit. L’image d’Alex s’impose à moi, insistante, puis légère, et le désir enfle, s’immisce, s’étire dans ma hanche, sous ma poitrine nue. Instinctivement, je me roule sur le côté pour atteinte le tiroir de ma table de chevet. Je l’ouvre en urgence et attrape un de mes nombreux godes anal. Je le porte à ma bouche pour l’humidifier, tandis que mon autre main libre glisse lentement sur mon ventre, effleurant mes courbes et cueillant la chaleur qui bruisse entre mes cuisses. Je me cambre, écartant les jambes avec délicatesse. Puis, d’un mouvement lent et maîtrisé, j’introduis le godemichet dans mon anus. Des râles doux s’échappent de moi, mêlés à un souffle qui s’accélère, tandis que je me laisse aller à un va-et-vient tranquille, imaginant Alex, penché au-dessus de moi, enveloppant mon corps de sa présence ardente.

Soudain, une pensée étrange me traverse, inattendue, brûlante : celle de Pauline, la belle katoï qui habite juste en face. La fenêtre de ma chambre donne directement sur la sienne, séparées seulement par un sentier verdoyant et la pluie qui tombe. Tandis que j’insère encore plus profondément le godemichet dans mon orifice, mes souvenirs remontent, doux et limpides : j’ai été sa baby-sitter il y a quelques années. Celle que j’ai d’abord considérée comme un petit frère, puis comme ma petite sœur, a maintenant 18 ans, et elle va à l’université. Je l’ai toujours aimée d’un amour secret, presque enfantin, et ce soir, à défaut de recevoir la queue d’Alex, c’est à celle de Pauline que je pense. Elle est grande maintenant, mature et prête à être sexuellement éduquée.

D’une légère contraction, ponctuée d’un couinement libérateur, mon anus expulse le godemichet.

Troublée, nue, enveloppée par la semi-lumière de la chambre, je me dirige vers la fenêtre. Je l’ouvre en grand. Je scrute la maison en face, la fenêtre sombre de Pauline. J’appelle son nom, d’abord doucement, puis plus fort à chaque fois, fendant la nuit de ma voix. Après un instant, la pièce s’illumine d’une lumière jaune et la silhouette de Pauline apparaît à la fenêtre, vêtue d’un pyjama rose. Elle a l’air à moitié endormie, les cheveux éparpillés comme une mer en désordre sur ses épaules alanguies. Je reste immobile, sans cacher ma nudité, désireuse qu’elle me voie tout entière, qu’elle comprenne mon désir. Mes seins tendus défient l’ombre de la nuit. Je lui fais un signe sans équivoque, lui demandant silencieusement de venir.

Je perçois la surprise dans ses yeux, la douceur dans son sourire naissant, et le trouble de mon invitation impudique sous la pluie ténue. Pauline, le visage éclairé d’un sourire incrédule, forme silencieusement sur ses lèvres un « j’arrive ». Sa silhouette disparaît aussitôt, la lumière s’éteint.

Peu après, j’entends le léger claquement de ma porte d’entrée, presque inaudible, puis le bruit de ses pas dans l’escalier. Pauline entre dans ma chambre, drapée de son pyjama rose et d’une robe de chambre légère. Elle s’arrête un instant, me regarde intensément, lit dans mes yeux l’appel muet, le désir offert.

— Bonsoir, mon grand garçon, dis-je en souriant, nue et alanguie dans les plis froissés du lit.

Elle réplique d’une voix douce, un éclat timide dans les yeux : « Je suis une fille maintenant. » Un sourire malicieux flotte sur ses lèvres en voyant le sex-toy posé sur les draps du lit. Elle hésite, puis demande à voix basse : « Tu as un godemichet ? »

— Oui, c’est un gode anal, je jouais avec avant de t’appeler.

— Tu aimes la pénétration anale ?

Mon regard se fixe dans le sien, profond et assuré. En guise de réponse, j’écarte les jambes, lui offrant une vue intime sur mon vagin mielleux, puis sur l’entrée de mon anus.

Pauline demeure interdite l’espace d’une seconde, surprise mais éveillée par ce qui s’ouvre devant elle. D’une voix hésitante, elle demande : « Pourquoi veux-tu de moi maintenant ? »

La voix vibrante d’émotion et de passion retenue, je réponds : « Parce que tu as 18 ans, parce que tu m’attires, parce que ce soir la pluie m’a rendue folle… Est-ce que je te plais, Pauline ? »

Elle s’approche doucement, ses mains tremblantes laissant tomber sa robe de chambre légère sur le sol. Son regard brûle d’un désir intense, une flamme pure et fragile qui semble révéler toute sa vulnérabilité.

— Oui, tu es très belle, Ovaline, et j’ai toujours eu envie de toi, murmure-t-elle d’une voix douce.

Elle avance lentement jusqu’à moi. Je m’assieds sur le bord du lit, puis l’enlace de mes jambes, la serrant contre moi avec une tendresse mêlée d’envie. Mes mains glissent pour défroisser le tissu fin de son pyjama, effleurant ses hanches fines, sensibles au moindre frisson sous mes doigts.

Pauline retire lentement le haut de son pyjama ; sa peau ambrée frémit sous mes caresses hésitantes. Je dépose un doux baiser sur son nombril puis, avec une délicatesse fébrile, je descends son pantalon, découvre sa queue que je vois gonfler, pointer vers mon visage, se décalotter, plus grosse, plus ferme que dans mes souvenirs d’adolescente.

Là, devant moi, se tient celle qui éveille chaque fibre de mon désir. Ses mains, serrées contre sa poitrine comme pour dissimuler des seins absents, trahissent une timidité émouvante. Son corps tout entier tremble.

Je lève la tête et la regarde, fascinée par ce grain de beauté séduisant sur le devant de sa joue gauche, ses lèvres pleines et sensuelles, ses yeux où se mêlent innocence et supplique, un reflet de moi-même dans toute sa pureté. Deux jeunes filles innocentes, prêtes à se goûter.

Mes doigts s’égarent, agrippent ses boules rasées, bien rondes, bien fermes, douces et soyeuses. Sa queue, longue et fine, évoque un accessoire parfaitement taillé pour la pénétration anale que j’affectionne tant. En quelques va-et-vient de ma main, un filet délicat de liquide pré-éjaculatoire perle à l’extrémité de son gland. Submergée de désir, la pièce vacille soudain autour de moi, ma vue se brouille. Les paupières mi-closes, j’engoule son sexe, l’accueillant pleinement jusqu’au plus profond de ma gorge, tandis que Pauline laisse échapper un long gémissement d’extase.

Je savoure pleinement le goût unique de sa bite. Puis, doucement, je me lève pour lui faire face. Pauline me dépasse de presque dix centimètres, mesurant environ un mètre soixante-quatorze. Son visage est celui d’une très belle jeune fille, délicat et lumineux, tandis que son corps garde la finesse juvénile d’un garçon, encore lisse et imberbe.

Je lui murmure, le souffle léger : « Embrasse-moi, ma chérie. Embrasse-moi profondément. »

Nos lèvres se rencontrent enfin, s’entrelacent avec une passion naissante, nos langues dansent et jouent dans un baiser profond et brûlant. Sous mes doigts, sa queue raidie palpite comme un cœur qui bat. En écho, mon sexe dégouline d’un abondant liquide vaginal, que je sens couler le long de mes jambes.

Le baiser s’étire, humide et chargé de désir, ponctué de gémissements échangés. C’est comme si Pauline avait imaginé ce moment des milliers de fois en se masturbant… une scène qui devient maintenant réalité et dont elle compte bien profiter sans aucune retenue.

Ses mains hésitent, découvrent mon corps avec une douceur maladroite : elles effleurent mes seins, jouent doucement avec mes gros tétons roses, glissent sur mes flancs, suivent la courbe de mes hanches et caressent mes fesses. Toute sa timidité se devine dans le tremblement perpétuel de ses gestes et de son souffle.

Elle murmure entre deux baisers baveux : « Tu sens bon Ovaline, et ta peau est douce. »

J’aime la fragrance délicate de sa bouche, la fraîcheur subtile de son souffle juvénile. Ce que je préfère, c’est sentir son haleine, impatiente et vive, qui envahit la mienne, se mêle à mon visage, anime nos baisers d’un feu nouveau. J’aime qu’elle me suce la langue avec cette ardeur ingénue, ce besoin d’explorer et de découvrir. Je l’aime, fragile mais pleine de vie, et je sens au fond de moi l’envie profonde de l’accompagner sur le chemin de tous les plaisirs à venir. J’ai également le désir d’explorer mes propres limites, d’approfondir encore les mystères de mon corps.

Je lui demande soudain, la voix douce :

— Tu préfères le trou de devant ou celui de derrière ?

Pauline me répond timidement, presque à voix basse : « Celui de derrière. »

Je me place à quatre pattes, sur le bord du lit, offrant ma croupe, mon anus délicat.

— Enduis ta queue d’huile de noix de coco, elle est sur la table de chevet, lui dis-je. Sois douce.

Je patiente, le cœur battant, car c’est la première fois que je vais me faire enculer par une vraie bite. Les autres fois, c’était ou les doigts affectueux de mon amie à l’université, ou le gode anal avec lequel je joue de temps en temps.

Un frisson d’appréhension m’assaille.

J’entends Pauline se branler en s’appliquant la lotion, puis je sens soudain son gland brûlant effleurer mon anus. Elle exerce une pression à l’entrée de ma corolle, qui résiste un instant, avant de céder. Un puissant cri d’extase s’échappe sans retenue de mes lèvres alors que sa queue pénètre profondément mon orifice. Les mains accrochées aux draps, la tête dans l’oreiller, les cheveux en bataille, je laisse résonner mes râles tandis qu’elle me laboure.

Mais en à peine quelques va-et-vient, parsemés de petits soupirs et glapissements, Pauline atteint son apogée et éjacule en moi dans un râle discret. Mon corps, sensible, perçoit chaque contraction de son gland qui expulse à chaque fois une bonne quantité de sperme au fond de mon anus. Je compte les spasmes, souriant devant la générosité de ce don, comme si elle ne s’était pas branlée depuis des semaines. Je savais qu’elle était impatiente, encore jeune aux émotions vives.

Quelques instants plus tard, ma corolle expulse sa bite ramollie.

Je reste immobile, à quatre pattes, haletante, laissant le temps à mon anus d’éjaculer le sperme par vagues rapprochées. Un filet chaud et onctueux dégouline sur mon vagin, le long de mes jambes.

Une fois l’écoulement terminé, je me retourne et m’assieds au bord du lit, face à Pauline. Elle se tient debout devant moi, les yeux embués de larmes, honteuse, l’air désolé. Le gland de sa queue molle est enrobé de sperme et laisse perler un long filet de sperme. Je lui souris pour la rassurer, puis gobe son sexe pour aspirer jusqu’à la dernière goutte de son jus.

Après quoi, je l’invite à l’allonger auprès de moi sur le lit. Je la serre dans mes bras, sentant ses tremblements légers contre moi.

Je l’embrasse goulûment, partageant un baiser de foutre, un baiser qui scelle notre lien.

Son visage est perdu dans un tourbillon d’émotions, consciente d’avoir joui trop rapidement. Elle murmure, la voix fragile :

— Je suis désolée, j’ai éjaculé trop vite…

Je lui glisse à l’oreille, en la couvrant de baisers :

— Ce n’est pas grave, ma chérie. Tu apprendras à réfréner tes élans.

Elle se lève et se dirige vers la salle de bain, cherchant à retrouver une sensation de fraîcheur. L’eau de la douche coule. Cinq minutes plus tard, de retour près de moi, elle me demande d’un regard suppliant :

— Est-ce que je peux rester dormir avec toi ?

Je lui réponds sans hésiter :

— Bien sûr, ma chérie.

Elle se couche à mes côtés. Nos corps s’enlacent naturellement, sa queue mi-molle effleurant ma jambe. Nos cheveux s’emmêlent, nos visages se frôlent. Nos souffles tièdes se mêlent.

Nous nous endormons comme deux amoureuses, enveloppées dans la tendresse de cette nuit partagée.

Fin de ce chapitre

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Le nombre total de chapitres du roman Ovaline reste encore inconnu : ce livre se construit au fil du temps, façonné par vos désirs et ceux de l’écrivaine. Laissez libre cours à votre imagination : dans les commentaires, partagez vos envies, vos fantasmes, vos suggestions de rencontres ou d’aventures érotiques. Peut-être retrouverez-vous vos scènes rêvées dans les chapitres à venir, tissés au fil des désirs et des confidences.



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Alex Posté le mardi 12 août 2025 à 06:51:25
C'est très cochon mais en même temps l'héroine parait douce et tendre. J'aime beaucoup, vous avez gagné un lecteur.
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Marc Posté le lundi 11 août 2025 à 10:38:30
Merci pour ce chapitre. On entre dans le vif du sujet, sans jeu de mots. J'adore cette Ovaline.
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Claudine Val Posté le lundi 11 août 2025 à 09:26:42
Lu ! Ici on entre clairement dans la pornographie. Je reste à l'affût de chaque nouveau chapitre.

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