Il fait déjà jour.
Je m’éveille doucement, avec le sentiment d’être amoureuse. Mon corps est lové contre celui d’Alex. Ma main repose sur sa hanche, mon visage niché contre son torse chaud. Son souffle paisible effleure mes joues et m’arrache un sourire tendre. Je relève légèrement la tête pour déposer un baiser sur les lèvres de l’homme qui m’a enflammée toute la nuit.
— Tu es réveillé ? murmuré-je d’une voix encore voilée de sommeil.
Il entrouvre les yeux et m’embrasse tendrement. Sa langue glisse avec délicatesse dans ma bouche. Je l’accueille avec gourmandise en la suçant. Un doux râle s’échappe de moi tandis que mon corps se resserre contre le sien. En même temps, je sens son érection grandissante entre mes jambes et je me dis que je voudrais bien goûter à sa queue chaude du matin.
Je romps le baiser, amusée :
— Tu bandes encore mon amour !
Je saisis sa verge dans ma main, et elle palpite doucement entre mes doigts. J’aime agripper cette masse dure et chaude, si longue, si épaisse, presque rassurante. Je me dis que je suis à moitié folle d’y trouver du réconfort.
— Je suis toujours ton amour ?
Je lui mordille doucement le menton, puis attrape sa lèvre inférieure entre mes dents avant de murmurer :
— Et toi… qu’aimerais-tu être pour moi ?
Il repousse délicatement une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et m’embrasse à pleine bouche. Nos souffles se mêlent, nos haleines se réchauffent dans un baiser profond et langoureux. Puis il souffle contre mes lèvres :
— Tu crois que tu pourrais être ma petite amie ?
Je passe mes bras autour de son cou et l’embrasse plus passionnément encore :
— Je crois que oui. J’attendais que tu me le demandes.
— Tu crois ?
— Tu te souviens que j’ai un sugar daddy… Ça ne te dérange pas ?
Il me confie dans un souffle :
— Je suis ouvert sexuellement. J’aime explorer, tenter de nouvelles expériences… Tant que ton cœur reste à moi, ça me va.
À cet instant, je me dis intérieurement qu’Alex me ressemble plus que je ne l’aurais cru. Alors je lui murmure, les yeux plongés dans les siens :
— Alors je serai ta douce et aimante petite amie.
Nous levons nos petits doigts et les accrochons l’un à l’autre pour sceller notre promesse dans un geste enfantin et tendre. C’est alors qu’une voix s’élève soudain de l’extérieur, juste sous la fenêtre ouverte de ma chambre :
— Ovaline ! Ovaline ! Tu es là ?
Alex, étonné, me demande :
— C’est qui ?
Je mordille un de ses tétons et marmonne :
— C’est Pauline, ma petite sœur…
— Ta sœur ? Mais je croyais que tu étais fille unique !
— Oui, enfin, je la considère comme ma sœur. J’ai été sa baby-sitter quand il était un garçon.
Alex fronce les sourcils, intrigué :
— Un garçon ! C’est une fille ou un garçon ?
Je souris en expliquant :
— C’est un katoï. En résumé, une fille avec un pénis. Quand j’étais sa baby-sitter, c’était un garçon, puis il a voulu devenir une fille. Il y a plein de katoï en Thaïlande. On les appelle aussi des ladyboys.
Alex hoche la tête :
— Oui, je suis au courant.
Un petit caillou tombe sur le parquet dans un léger « tac », nous faisant rire. Je dépose un baiser sur les lèvres d’Alex, puis murmure à son oreille :
— Elle ne va pas nous lâcher, elle croit que je suis seule… Je prends une grande inspiration. J’ai envie d’être totalement sincère avec mon nouvel amant, de ne rien lui cacher : Tu sais, quand il était encore un garçon, il a été mon tout premier baiser, J’avais dix-sept ans, lui quatorze… c’était pour son anniversaire. Et aujourd’hui, en tant que fille, c’est aussi la seule à m’avoir prise par derrière. C’était récemment. Nous avons fait l’amour… Je l’aime comme une sœur. C’est ma voisine depuis toujours, et j’ai couché avec elle. J’ai envie de l’initier, de l’accompagner dans son éducation sexuelle.
Surpris et curieux, Alex me demande :
— Tu crois que je pourrais l’enculer, vu que c’est un katoï ?
Je resserre la pression autour de son pénis, le caressant d’un geste lent et félin, puis miaule comme une enfant espiègle :
— Mon amour… non, je te l’interdis. Ta queue est trop grosse, tu risquerais de lui faire mal. Je marque une pause, puis ajoute dans un sourire coquin, les yeux plantés dans les siens pour observer sa réaction : Par contre, tu peux lui sucer la bite.
Alex éclate de rire :
— Je n’ai jamais sucé de katoï !
Je laisse glisser ma langue langoureusement sur ses lèvres avant de lui demander :
— Tu aimerais essayer ?
Un nouveau caillou atterrit dans la chambre. Alex hausse les épaules :
— Je ne sais pas… Dis-lui de monter, on verra bien. Mais peut-être qu’elle sera furieuse de nous trouver ensemble au lit ?
Je secoue doucement la tête :
— Je ne pense pas… Elle sait très bien que j’ai des aventures. Puis, me redressant légèrement, je crie en thaï depuis le lit : Viens Pauline, monte ! La porte est ouverte.
Un moment de silence s’installe, durant lequel je pense que Pauline retire ses chaussures. Puis la porte d’entrée s’ouvre brusquement, claquée derrière elle. Des pas feutrés montent l’escalier et soudain sa silhouette apparaît dans l’encadrement. Elle semble surprise, presque choquée, de nous trouver, Alex et moi, enlacés et nus sous un simple drap blanc. Seuls mes seins sont visibles, mais elle les a déjà vus, embrassés, léchés, sucés. Comme elle est sur le point de tourner les talons pour partir, je l’interpelle :
— Viens, mon cœur, je te présente Alex.
Hésitante, elle avance et s’assoit au bord du lit. Elle est magnifique dans sa tenue d’étudiante : jupe bleu marine, chemisier blanc impeccable, et ses longs cheveux soyeux retenus par un serre-tête rose. Assise là, elle incarne l’image parfaite de la jeune fille modèle, et son sourire adorable illumine la pièce.
Je dépose un baiser sur la bouche d’Alex et lui dis :
— Mon amour, je te présente Pauline. Elle a eu dix-huit ans cette année et vient tout juste de commencer sa première année à l’université de Chiang Mai.
Alex lui adresse un « Hello » en anglais, avec un sourire chaleureux, avant de se pencher vers moi pour murmurer :
— Elle est ravissante.
Pauline reste figée, muette, sans doute peu à l’aise avec l’anglais. Elle se contente d’un sourire timide. Son grain de beauté sur le devant de sa joue gauche la rend plus coquine que jamais.
Au bout d’un moment, je lui tends la main et lui dis en thaï :
— Viens m’embrasser, mon cœur.
Pauline se rapproche à quatre pattes sur le lit, bascule ses cheveux sur le côté et se penche sur mon visage pour m’embrasser tendrement. Son parfum me captive, preuve qu’elle s’est soigneusement préparée ce matin. Sa bouche est délicieuse, sa langue douce, son haleine fraîche, et sa peau sent tellement bon.
Tout en enlaçant passionnément nos langues, je glisse discrètement ma main sous sa jupe, attrape sa verge à travers sa petite culotte et savoure sa rigidité croissante sous mes doigts. Elle se laisse aller, haletante contre mes lèvres, exhalant un long râle de plaisir.
Sans détacher ma bouche de la sienne, je murmure :
— Embrasse aussi Alex, si tu veux.
Pauline regarde Alex, esquisse un sourire timide, hésite. Alex lui tend la main avec encouragement :
— Viens, Pauline.
Finalement, elle s’approche, leurs lèvres se rencontrent d’abord timidement, s’effleurent dans un baiser léger, comme pour se jauger. Peu à peu, leurs bouches s’ouvrent davantage, leurs langues s’entrelacent dans un baiser profond, ponctué par un soupir continu de Pauline.
Lorsque leur baiser s’achève, je l’invite d’une voix douce :
— Veux-tu te joindre à nous ? Viens, déshabille-toi.
Sous nos regards, Pauline se dénude lentement, révélant un corps élancé : de longues jambes, de jolies fesses, des hanches féminines, un ventre lisse et une poitrine plate. Je surprends un sourire sur le visage d’Alex lorsqu’il aperçoit sa verge déjà tendue, soigneusement rasée, son gland rose décapsulé et luisant.
Une fois nue, elle se glisse entre Alex et moi sous le drap. Encore timide, elle choisit de me faire face et, les yeux grands ouverts, une drôle d’expression traverse son visage quand elle sent le membre d’Alex plaqué derrière contre ses fesses. Un rire complice nous échappe.
Je lui retire délicatement son serre-tête pour lui permettre de poser la tête confortablement sur l’oreiller, puis, une main dans la sienne, je murmure en thaï :
— Laisse-moi t’embrasser, mon cœur. Puis je regarde Alex et lui dis en anglais : Fais comme moi.
Je dépose tendrement des baisers sur l’épaule de Pauline, puis dans son cou, avant de lui lécher doucement l’oreille. De l’autre côté, Alex imite mes gestes avec la même douceur, tenant aussi une de ses mains et caressant l’autre oreille avec sa langue.
Les yeux à demi-clos, Pauline se laisse aller. Sous nos baisers et coups de langue délicats, elle laisse échapper des cris étouffés, rauques.
Conscients de son extase, Alex et moi redoublons d’attention en lui léchant les joues. Lentement, ensemble, nous remontons vers sa bouche, caressant chacun une commissure des lèvres, prenant notre temps pour faire monter la tension. Puis nos langues glissent sur ses lèvres, se rejoignent. En proie à une ardeur brûlante, Pauline pousse un son entre le bêlement et le gémissement, ouvre la bouche et tend la langue. Nos trois langues s’enlacent avec passion, se goûtent, se mêlent, s’aspirent et se sucent dans une symphonie de gémissements et de halètements.
Portés par cette vague de plaisir, nous laissons nos langues batailler longuement, tandis que mes mains alternent des caresses sur la verge de Pauline, puis sur celle d’Alex. Bientôt, Pauline s’empare de la queue d’Alex, qui saisit la sienne en retour.
Au bout d’un moment, je me redresse d’un geste vif, retirant le drap que j’envoie voler au pied du lit, dévoilant notre nudité à tous les trois. Je me place en position de chien de fusil entre Alex et Pauline, tournée vers lui, offrant ma croupe à Pauline pour qu’elle pénètre mon petit trou. Je me cambre, l’invitant à entrer. Elle sait exactement comment procéder. D’abord, elle enfonce sa queue dans mon vagin, effectue quelques va-et-vient pour bien la lubrifier, puis se retire. Ensuite, elle place son gland brûlant à l’entrée de mon anus, et je frémis de désir. Elle force doucement ma corolle puis s’enfonce d’un coup au fond de mon anus, m’arrachant un long râle de plaisir.
De son côté, Alex positionne son sexe à l’entrée de mon vagin et m’envahit par à-coups profonds, jusqu’à s’enfoncer tout entier en moi. Un râle guttural de plaisir m’échappe, irrépressible. C’est ma première double pénétration.
Tous deux semblent au bord de l’éjaculation, profondément ancrés en moi, l’un dans mon vagin, l’autre dans mon anus. Immobiles, ils retiennent leurs mouvements pour ne pas déclencher trop vite leur jouissance. Ils se contentent de lécher tendrement mon visage. Nos langues s’entrelacent, se cherchent, se caressent dans un ballet de soupirs et de râles étouffés. Dans ce moment d’extrême érotisme, il n’est pas nécessaire qu’ils effectuent des va-et-vient dans mes deux trous : ma jouissance monte seule, intense, profonde, partant du plus profond de mes entrailles.
Mon orgasme vient lentement. Mon corps tressaille, chaque vague de plaisir parcourt mon être en douceur. Des cris s’échappent de ma gorge, longs, plaintifs, entrecoupés de halètements. Mon corps se cambre, mes muscles se contractent en tremblements successifs, m’enveloppant d’une fièvre voluptueuse qui s’étire, prenant son temps, me submergeant totalement dans un tourbillon de sensations.
À l’apogée de mon plaisir, alors qu’un flot de liquide vaginale s’échappe de moi, ruisselant sur la queue et les cuisses d’Alex, j’entends soudain Pauline murmurer d’une voix haletante :
— Ovaline… Ovaline… je vais jouir.
D’une voix éteinte, presque avalée par le baiser d’Alex qui fouille ma bouche de sa langue, je parviens à souffler :
— Viens jouir dans nos bouches, mon cœur, si tu en as envie.
En toute hâte, Pauline se retire de mon anus, se place à califourchon sur moi et guide sa verge vers mon visage. Son gland effleure mes lèvres, tout près de celles d’Alex qui m’embrasse toujours. Tour à tour, Alex et moi engloutissons sa queue, jouant avec nos langues sur son gland, traçant des cercles, produisant des bruits de succion, d’aspiration, de baisers voraces.
Délicatement, je glisse ma main entre les cuisses de Pauline, enfonçant lentement la moitié de mon index dans son anus. Sous cette intrusion, son corps se crispe en tressaillements, ses tremblements s’amplifient, incontrôlables. Elle pousse une série de petits couinements, puis hurle presque :
— Je vais jouir, je vais jouir…
Son corps frémit, ses fesses se contractent si fort que je dois retirer mon doigt ancré dans son petit trou. Un instant plus tard, avec un grondement ininterrompu de plaisir, Pauline explose en premier dans la bouche d’Alex. Je sens sa surprise face à la quantité de sperme qu’il reçoit.
La jouissance de Pauline dans la bouche d’Alex est tellement érotique qu’elle déclenche chez moi une seconde vague de plaisir. Un nouvel orgasme m’envahit tandis que Pauline éjacule cette fois dans ma bouche. Alors que sa semence glisse sur ma langue, mon corps se contracte, longuement, doucement, s’abandonnant à une déferlante de frissons et de longs gémissements qui s’éternisent.
Au paroxysme de son plaisir, Pauline termine son éjaculation en aspergeant mon visage de foutre, puis celui d’Alex. Les dernières gouttes tombent dans nos bouches jointes, et nos langues s’entrelaçant dans un baiser saturé de cette chaleur liquide.
Ce baiser, trempé du liquide séminal de Pauline, déclenche enfin la jouissance d’Alex.
Tandis que Pauline s’écarte de mon corps et s’allonge à mes côtés, Alex halète et gémit de plaisir, son corps tremblant sous l’émotion. Il retire sa verge de mon vagin, la saisit fermement et la masturbe en quelques mouvements rapides, jusqu’à éjaculer dans une cascade de râles et de couinements. Il envoie la sauce librement, sans retenue ni souci de saleté. Le sperme éclabousse en jets abondants, dans toutes les directions, sur le drap, sur mon corps, sur mes seins et ma gorge.
Face à cette avalanche de sperme, je me dis qu’après les deux sessions d’hier soir et cette nuit, Alex se recharge vite. Ce n’est pas surprenant : il est jeune, vigoureux, en pleine santé.
Les yeux ébahis et pétillants, Pauline passe la main sur la queue d’Alex, luisante de mon orgasme, puis sur le gland d’où s’échappent encore de longs filets de sperme. Elle le caresse un moment, puis ose approcher son visage pour le sucer de tout son long, l’essorant jusqu’à la dernière goutte.
Une fois satisfaite, elle me lance en thaï, un large sourire aux lèvres :
— C’est la plus grosse bite que j’ai jamais vue.
Je traduis à Alex, et nous éclatons de rire ensemble. Nos corps sont couverts de liquide séminal, mon visage, celui d’Alex, et celui de Pauline. Apaisés, nous nous regardons avec tendresse, puis nous nous câlinons, rapprochant nos bouches pour un long baiser à trois, dans un savoureux mélange de soupirs étouffés et de halètements saccadés.
Au bout d’un moment, repue, je jette un coup d’œil à mon téléphone : 8h10. Je taquine Pauline :
— Dis, tu ne vas pas être en retard pour l’école ?
Elle minaude en réponse :
— Je ne vais plus à l’école, je suis à l’université.
Je ris doucement :
— Allez, file mon cœur…
Pauline enfile avec empressement sa jolie culotte en dentelle blanche. Elle bande encore et ne sait pas comment placer sa bite. Finalement, elle la plaque contre son ventre, dressée vers le haut sous le tissu.
Alex et moi la regardons faire, amusés, luttant pour ne pas éclater de rire.
Pauline remet sa jupe, son chemisier, ses chaussettes, puis dévale les escaliers. On entend la porte claquer et une minute plus tard, le vrombissement de son scooter.
Quand Pauline est partie, je me blottis contre Alex et lui murmure à l’oreille :
— Alors mon amour… tu as aimé ?
— Oui, Pauline est très mignonne. Elle me plaît beaucoup. Et puis… son sperme a un très bon goût.
Je le regarde avec tendresse, le sourire aux lèvres :
— Il va falloir que je change encore les draps et que je prenne une douche. Vous avez éjaculé partout comme des cochons.
Alex esquisse une moue amusée, ses yeux glissant vers la large tache humide sous mes fesses :
— Toi aussi tu as éjaculé… comme une fontaine.
Je lui donne une petite tape complice sur la poitrine et miaule doucement :
— Humm… mon amour, je vais aller me doucher…
Nous nous embrassons à nouveau, et entre mes cuisses, je sens déjà sa colonne de marbre blanc se dresser, dure et brûlante, réclamant une autre étreinte…
J’aurais bien envie de le laisser me pénétrer encore, mais l’heure file, et je dois me résoudre à quitter le lit afin de me préparer pour aller travailler.
Lorsque je sors de la douche, Alex s’est assoupi, un bras rejeté au-dessus de sa tête, l’air paisible et vulnérable.
Je m’habille sans bruit, descends à la cuisine préparer deux cafés, puis remonte dans la chambre. Je les dépose sur la table de chevet, m’assieds au bord du lit et glisse mes doigts dans ses cheveux.
Il s’éveille doucement… ainsi que son érection.
Je souris malgré moi.
Il me rend mon sourire en apercevant les deux tasses fumantes, et murmure :
— Tu as deviné mon envie…
Nous savourons nos cafés, lentement, en silence.
Il est neuf heures. Je repose ma tasse et me lève :
— Je dois y aller. Prends ton temps. J’ai laissé les clés de la maisonnette sur la table du salon, avec l’adresse notée sur un papier. Tu peux y rester un mois… avant que mon sugar daddy n’arrive.
— Merci, Ovaline, répond-il simplement.
Je me penche vers lui et laisse mes lèvres effleurer les siennes, tendres et chaudes. Elles s’entrouvrent aussitôt, en quête d’un baiser plus profond, mais je m’échappe dans un dernier sourire.
Je referme la porte derrière moi et m’en vais travailler.







