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Ovaline – Chapitre 12 : Renvoi d’ascenseur

Publié le lundi 24 novembre 2025 dans « Ovaline »


Ovaline – Chapitre 12
Ovaline – Chapitre 12 : Renvoi d’ascenseur

Dix jours se sont écoulés, rythmés par le travail et des moments consacrés à mon bien-être. Pleine de bonnes résolutions, j’ai pris un abonnement mensuel au O2 Gym, sur Kampangdin Road. J’y vais tous les deux jours pour une solide séance de cardio, suivie de quelques séries de squats avant d’entamer ma journée de travail. Honnêtement, je trouve mes fesses superbes, fermes, galbées et bien formées, tout comme mes cuisses. Mais comme dit le proverbe, mieux vaut prévenir que guérir.

Il y a trois jours, ma tante m’a offert un magnifique cadeau, sous la forme d’une demi-journée de détente au Oasis Spa, un établissement prestigieux situé juste à côté du temple Wat Prasing, en plein cœur de Chiang Mai. Le soin a commencé par un bain de vapeur aux herbes thaïlandaises, idéal pour apaiser les tensions les plus profondes, suivi d’un gommage corporel et d’un massage à l’huile, avant de s’achever en douceur par un soin du visage.

Plusieurs fois, Pauline a trouvé refuge dans mes draps. À chaque fois, nous avons fait l’amour avec tendresse avant de nous endormir enlacées, comme deux amantes. Pourtant, je lui ai fait comprendre que je préférais qu’elle ne vienne pas trop souvent. Au fond, j’aimerais qu’elle rencontre quelqu’un.

J’aime Pauline comme une sœur. J’aime nos étreintes, j’aime lui faire découvrir le plaisir. Mais je ne nous imagine pas en couple. Elle est trop jeune, et moi, je suis davantage attirée par les personnes plus âgées, plus mûres. D’ailleurs, même si j’aime les femmes, je crois que je me verrais plutôt en couple avec un homme. À mon sens, ils offrent une sensation de sécurité plus forte. Bien que j’apprécie la douceur des femmes, leur peau délicate, le parfum subtil de leur bouche, leur sensibilité unique et leur talent pour donner du plaisir à une autre femme, je suis irrésistiblement attirée par la virilité des hommes, et leur brutalité. Leur odeur plus sauvage, presque animale, le contact de leur pénis sous mes mains, les caresses audacieuses, sentir leur queue remplir mon vagin, leur semence éclabousser mon visage, couler jusque dans ma bouche… tout cela me fascine et m’enflamme d’une manière intense.

Pauline se revendique bisexuelle, mais le balancier de son cœur semble osciller davantage vers la douceur féminine. Elle aime planter son dard dans mes deux trous, éjaculer dans ma bouche, échanger des baisers de sperme… des choses qu’elle ne pourrait pas faire avec un garçon. J’aimerais lui présenter Ploy, la réceptionniste de la galerie d’art où je travaille. Depuis cette étreinte passionnée que nous avons partagée dans la cuisine, lorsque je me suis acharnée à la faire jouir, un lien profond s’est tissé entre nous. Ploy est manifestement lesbienne. L’autre jour, autour d’un café qu’on prenait ensemble après le repas de midi, elle m’a confié n’avoir jamais connu d’homme, jamais franchi ce pas. Je lui ai proposé de lui prêter des godemichets, lui vantant les mérites de ces jouets vibrants. Elle a accepté. Le lendemain, je lui en ai apporté trois : un gode anal et deux vaginaux, dont un assez sophistiqué proposant à la fois une stimulation du point G et du clitoris. Elle était ravie. Plus tard, elle m’a avoué, le regard pétillant, qu’elle avait pris son pied. Je les lui ai donnés, heureuse de son enthousiasme. Je me suis dit que Pauline pourrait lui offrir la tendresse et la douceur d’une femme, avec une jolie queue pour la combler. En tout cas, j’aimerais qu’elle essaie, qu’elle goûte à la bite de Pauline. Un plan mûrit dans mon esprit…

J’ai aussi revu Alex. Nous avons passé du temps à batifoler sous les draps. Il loge dans la petite maison que je lui ai prêtée pour un mois, avant l’arrivée de mon sugar daddy. Un après-midi de la semaine dernière, nous sommes allés ensemble au Wat Umong, un temple enfoui dans la forêt, un peu à l’écart du centre de Chiang Mai. Le lieu dégage une paix presque irréelle : de longs tunnels voûtés, des murs recouverts de mousse, des bougies allumées devant des statues anciennes, et ce silence habité, traversé parfois par le chant des moines ou le cri lointain d’un oiseau. Alex prenait des photos, notait des détails pour son reportage. Mais j’avais l’impression que son regard revenait sans cesse vers moi. Peut-être était-ce moi, finalement, son véritable sujet. Nous avons ensuite dîné dans un petit restaurant traditionnel, au bord d’un lac. Le décor était simple et superbe, avec des tables en bois, des bougies flottant sur l’eau, une lumière dorée qui filtrait entre les feuilles. Ensuite, de retour à la maisonnette, nous avons fait l’amour avant de nous endormir, pour recommencer au réveil.

*

Je me réveille au petit matin. Je suis chez moi dans mon lit. Il est 7h30. Je baille longuement, m’étire comme un chat encore engourdi de rêves. Dehors, un fin crachin enveloppe la ville d’un voile laiteux.

Machinalement, je laisse ma main parcourir mon corps nu et chaud, comme pour m’assurer que tout est à sa place. Ma main gauche s’empare soudain d’un de mes seins, et je commence à titiller doucement le téton, tandis que ma main droite glisse sur mon sexe, que je caresse lentement. Un râle de plaisir s’échappe de mes lèvres alors que mon vagin s’irrigue, gonfle et brûle d’un désir croissant.

Une vague de plaisir monte en moi, chaque caresse intensifiant ma sensibilité, mon souffle s’accélère et mon corps se tend, traversé d’une ardeur qui m’emporte peu à peu vers l’orgasme. Mon cœur bat fort, mes sens se concentrent sur l’onde de plaisir qui monte inexorablement.

Soudain, juste au bord de la jouissance, je stoppe tout mouvement. Mon esprit s’envole vers Ploy. Elle me doit une faveur. Je l’ai fait jouir la dernière fois, c’est maintenant à elle de me rendre ce plaisir. Un sourire se dessine sur mes lèvres. Je me lève alors et prends une douche.

Ensuite, je m’habille. J’enfile un soutien-gorge, une robe légère couleur crème qui descend jusqu’à mi-cuisse, un string sexy orné d’un petit triangle transparent à l’avant, et une fine ficelle qui glisse entre mes fesses. Pour finir, j’enfile ma paire de baskets blanches épaisses. Mes cheveux tombent librement sur mes épaules, simplement retenus par un serre-tête. Je me trouve à la fois décontractée et sexy.

Avant de sortir, je saisis un parapluie. Le crachin persiste.

*

À mon arrivée à la galerie d’art, je découvre Ploy derrière la réception, absorbée dans le tri de quelques papiers. Son regard croise le mien, et en voyant mon demi-sourire et mon air narquois, elle devine le jeu qui se prépare entre nous. Elle sait qu’elle me doit une faveur, le pacte tacite de notre dernier ébat durant lequel je l’ai fait jouir, et l’écho de ma demande flotte déjà dans l’air.

Elle se lève, élégante dans son tailleur bleu profond et son chemisier blanc immaculé. Ses longs cheveux, tirés en arrière, se nouent en un chignon soigné. Son visage enfantin, illuminé de grands yeux candides et d’un doux sourire angélique, orné d’un petit grain de beauté près de la commissure droite de ses lèvres, me fait littéralement fondre.

Je confie la réception à Nim, une jeune stagiaire de vingt-et-un ans, puis j’invite Ploy à me suivre jusqu’à la cuisine, la laissant ouvrir la voie. Tandis que je marche derrière elle, j’admire ses longues jambes fuselées, son déhanché gracieux, la courbe parfaite de ses formes et je ne peux m’empêcher de penser qu’elle est sacrément bien moulée.

Une fois la porte refermée et verrouillée derrière nous, Ploy se tourne vers moi, le regard vacant. Elle semble vulnérable, prête à satisfaire le moindre de mes désirs. Sans un mot, je viens chercher ses lèvres. Nos bouches se soudent dans un baiser long et langoureux, où nos langues jouent avec douceur, passion et un soupçon d’impatience. Sa langue, douce et humide, danse avec la mienne, éveillant chaque fibre de ma peau.

Je romps soudain ce lien brûlant et murmure : « Fais-moi jouir, tirak. »

J’ai pris l’habitude d’appeler Ploy « tirak » quand nous ne sommes que toutes les deux. Ce mot signifie « ma chérie » en thaï. En réalité, bien qu’il s’écrive phonétiquement « tirak », les Thaïlandais ne prononcent pas le « r ». Ils disent plutôt « tilak », avec un « l » doux et glissant.

Quant à Ploy, elle m’appelle avec politesse « nong sao », ce qui signifie « petite sœur » en thaï. Elle a vingt-six ans, trois de plus que moi. Parfois, j’ai senti qu’elle aurait aimé se montrer plus tendre, mais elle conserve toujours une distance respectueuse car techniquement, je suis sa patronne.

Tandis qu’elle me regarde avec ses yeux de biche égarée, je me retourne, plaquant mes mains sur le mur, cambrant mon corps, écartant lentement mes jambes.

Prête à me rendre la pareille et à faire son devoir, Ploy s’agenouille derrière moi. D’un geste mesuré, elle soulève ma robe, puis fait glisser délicatement mon string le long de mes cuisses jusqu’à mes chevilles. Puis, sa langue plonge dans mon vagin avec une urgence contenue, comme si elle attendait ce moment depuis toujours. Je sens ses ondulations chaudes et humides s’insinuer doucement, mêlées à des suçons délicats. Elle effleure mon clitoris avec une intensité féroce, allumant un feu en moi.

Entre deux soupirs tremblants, je la supplie d’insérer son doigt dans mon anus.

Répondant à ma revendication, Ploy entreprend d’effectuer avec sa langue des cercles autour de ma corolle. Après l’avoir correctement humidifiée, elle force son entrée, puis empale mon petit trou de toute la longueur de son index, m’extirpant un cri strident. Tandis qu’elle me lèche âprement le vagin, son doigt s’anime et effectue des va-et-vient dans mon anus, déclenchant en moi une cascade de frissons et de plaisir.

Au bout d’un moment, une montée fulgurante m’envahit, incontrôlable. Tout mon corps se contracte, prêt à céder à cette force intérieure qui me submerge. Je sens que je vais jouir comme une fontaine. Je m’apprête à salir Ploy, à asperger son visage, à tremper ses vêtements. Tant pis pour elle, je ne peux plus me retenir. Je ferme les yeux, mords ma main pour ne pas hurler.

En proie à une montée de plaisir intense, je laisse soudain échapper des flots chauds et abondants de liquide clair. Mon corps se tend, mes muscles se contractent par vagues successives alors que ce liquide s’écoule avec force, inondant le visage de Ploy. Mes respirations s’accélèrent, mêlées à des gémissements d’extase, tandis que je me laisse submerger par cette vague de jouissance liquide, à la fois étonnante et bouleversante.

Quand je rouvre les yeux, je reprends doucement pied dans la réalité, le cœur battant encore au rythme du plaisir que je viens de laisser éclore.

À bout de souffle, je me retourne lentement.

Interdite, les yeux agrandis de surprise en découvrant l’état de son chemisier, Ploy se redresse lentement et me fait face. Ses vêtements sont trempés, son visage ruisselle et sa bouche écume encore ma jouissance. Sans réfléchir, je l’attire contre moi, resserre mes doigts dans son chignon à moitié défait, et nos lèvres se retrouvent pour un baiser profond, brûlant. Nos langues s’entrelacent, échangeant l’essence même de mon éjaculation.

Quand enfin nous relâchons la tension, nous tombons côte à côte sur le sol carrelé, le souffle court, le cœur apaisé, enveloppées dans le silence complice de notre intimité partagée.

Je regarde Ploy, son visage bouleversé, son air traumatisé, encore sous le choc.

D’une voix douce, presque gênée, je murmure :

— Je suis désolée de t’avoir éjaculé dessus. Lorsque je suis stimulée correctement, je perds tout contrôle et je jouis comme une fontaine.

Encore un peu sonnée, Ploy esquisse un sourire timide et murmure :

— Ce n’est pas grave… C’était intense… mais il va falloir que je me change !

En quelques mouvements de jambes glissant sur le carrelage propre, je m’approche d’elle, enlace sa taille et l’attire contre moi. Je dépose un baiser furtif sur ses lèvres avant de lui souffler, dans un sourire apaisé :

— J’ai un chemisier de rechange dans mon casier. Tu pourras aussi te rafraîchir et te recoiffer avant de retourner travailler.

J’hésite un instant, puis, un large sourire aux lèvres, je murmure :

— Tu sais que tu es incroyablement douée… tu m’as fait perdre la tête.

Ploy rougit légèrement, un sourire timide aux lèvres, et approche son visage du mien, avide d’un baiser. J’accueille sa langue dans ma bouche, et nous échangeons un long baiser passionné. Après un moment, je me détache de sa bouche et, prenant un air à la fois sérieux et malicieux, je lui demande :

— Dis-moi, tirak, aimerais-tu troquer les godemichets que je t’ai offerts contre une vraie queue ?

Devant son regard surpris, j’explique :

— Écoute, ma voisine est un katoï. Elle s’appelle Pauline, elle a 18 ans. Elle est charmante et très douce. Elle aime les filles et j’aimerais te la présenter. Je pense que vous seriez bien ensemble.

Ploy semble hésiter. Je poursuis en avançant mes arguments :

— Pauline est vraiment très belle, et sa queue est adorable. Je suis sûre que tu l’apprécieras. Tu devrais tenter l’expérience.

Ploy me regarde, intriguée :

— Est-ce que vous avez déjà couché ensemble ?

Je choisis d’être franche :

— Oui, je l’ai aidée à découvrir sa sexualité. Je la considère un peu comme une sœur. J’ai été sa baby-sitter quand elle avait 14 ans. À l’époque, c’était un garçon, il s’appelait Pol. Il a été mon tout premier baiser.

— Mais tu n’es pas amoureuse d’elle ?

— Je l’aime énormément. Personnellement, j’aime les femmes, mais je me vois davantage en couple avec un homme. Pauline, elle, préfère les filles. Elle est douce, délicate, un peu timide. Je suis convaincue que vous pourriez bien vous entendre.

Les yeux de Ploy brillent d’intérêt, et elle finit par dire :

— D’accord, je veux bien la rencontrer !

Je lui explique le plan :

— Écoute, ce soir, je proposerai à Pauline de venir dormir avec moi. Toi, viens demain matin vers 7h30. Ne sonne pas, la porte sera ouverte. Monte directement dans ma chambre.

— Pauline saura que je viens ?

— Oui bien sûr. Je lui dirais ce soir. Fais-moi confiance, elle sera ravie de te rencontrer. Tu sais, elle a beaucoup progressé et elle a pris de l’assurance. Elle a une très jolie queue, entièrement rasée. Elle sait me faire jouir, et elle peut te pénétrer par les deux trous.

Surprise, Ploy écarquille les yeux et demande :

— Tu veux dire qu’elle te pénètre aussi par derrière ? Tu aimes ça ?

— Oui, tirak, j’ai de bien meilleurs orgasmes lorsque mon anus est stimulé. Dis-moi, as-tu déjà essayé le gode anal ?

Ploy baisse la tête, un peu gênée :

— Oui, je l’ai essayé, mais je ne l’enfonce pas trop profondément.

— D’accord, continue d’y aller à ton rythme. Je pourrais t’aider si tu veux. Tu sais, tu pourrais expérimenter beaucoup de choses avec Pauline. Sa queue est longue et fine, avec un gland tout rose. Elle sait vraiment s’y prendre, elle ne te fera jamais mal. En plus, son foutre est délicieux, je suis sûre que tu aimerais. Et elle a la douceur d’une femme. Elle est vraiment très belle.

— Et toi ? Tu ne voudras plus baiser avec moi ?

— Si, bien sûr tirak, surtout après la façon dont tu viens de me faire jouir. Crois-moi, j’aimerais bien recommencer. Nous aurons l’occasion.

Ploy, revigorée, reprend confiance et lâche :

— Tu es belle Ovaline, vraiment très belle.

Je lui réponds :

— Toi aussi, tu es adorable. Et attends de voir Pauline. Tu comprendras pourquoi j’aime qu’elle me baise, elle est tellement craquante.

— Tu me la présentes si bien ! C’est un plan machiavélique ?

Je dépose un doux baiser sur ses lèvres :

— Non, ma chérie, je t’assure qu’il n’y a rien de machiavélique. Je ne te cache rien. J’aime coucher avec Pauline, j’aime baiser avec toi, j’aime baiser avec mon petit ami Alex. J’aime me faire prendre, et je ne m’en cache pas.

Ploy éclate de rire, détendue.

— Oui, c’est vrai, tu as toujours été honnête avec moi. Et après ce que je viens de vivre, à la façon dont tu m’as éjaculé dessus aujourd’hui, avec mon doigt profondément enfoncé dans ton anus, je crois que tu es une vraie petite cochonne.

En dévisageant Ploy qui arbore un air de sainte ni touche avec son minuscule grain de beauté au coin de ses lèvres, je l’imagine recevoir une giclée de foutre sur le visage, dans la bouche. Cette idée m’excite profondément.

Honteuse de mes pensées impures, je lui dis :

— Allez, tirak, vas te changer rapidement, il faut reprendre le travail. Je t’attendrai demain matin vers 7h30.

— D’accord, je viendrai.

Nous échangeons un dernier baiser avant de nous lever.

Je remets mon string, réajuste ma robe, replace mon serre-tête avec soin, puis déverrouille la porte et retourne vers la réception, tandis que Ploy part se changer aux vestiaires.

*

De retour à la réception, Nim, la stagiaire, n’ose rien dire, mais à son air coquin et son sourire de composition, je pense qu’elle se doute de ce qui vient de se tramer dans la cuisine juste au bout du petit couloir, et peut-être a-t-elle entendu les cris de jouissance que je me suis efforcée de contenir…

Un peu plus sèchement que je ne l’aurais souhaité, je lui lance :

— Reste ici, Ploy ne va pas tarder.

Elle baisse aussitôt la tête et murmure avec douceur :

— D’accord phi sao (grande sœur).

Je quitte la galerie et prends à droite, en direction d’un petit café branché du quartier. J’y commande deux Matcha Latte Bubble Tea, l’un pour moi, l’autre pour Ploy.

Cette variante raffinée du bubble tea classique marie la saveur végétale et légèrement amère du thé vert matcha à la douceur crémeuse du lait, le tout rehaussé par les perles de tapioca au fond du verre. Ploy en raffole, elle sera ravie.

Fin de ce chapitre

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Le nombre total de chapitres du roman Ovaline reste encore inconnu : ce livre se construit au fil du temps, façonné par vos désirs et ceux de l’écrivaine. Laissez libre cours à votre imagination : dans les commentaires, partagez vos envies, vos fantasmes, vos suggestions de rencontres ou d’aventures érotiques. Peut-être retrouverez-vous vos scènes rêvées dans les chapitres à venir, tissés au fil des désirs et des confidences.



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Suzette Posté le mardi 25 novembre 2025 à 09:10:40
Madame l'autrice, j'apprécie énormément votre style, très immersif. À la lecture de vos scènes, je me surprends souvent à souhaiter y être plongée moi-même, à partager ce que vit Ovaline, ou même à me glisser dans la peau de votre héroïne. En tant que personne bisexuelle, je me sens d'autant plus en résonance avec vos personnages et leurs désirs, au point d'imaginer parfois me retrouver à leurs côtés pour accompagner leurs élans et leurs fantasmes.
Continuez sur votre lancée, c’est un véritable plaisir de vous lire.

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