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Ovaline – Chapitre 10 : Ébats nocturnes avec Alex

Publié le dimanche 26 octobre 2025 dans « Ovaline »


Ovaline – Chapitre 10
Ovaline – Chapitre 10 : Ébats nocturnes avec Alex

À mesure qu’Alex approche de moi, sa bite se durcit et se tend comme un piquet de tente. Je me dis que je n’ai jamais vu un tel gourdin, hormis dans quelques films pornos, que je regarde rarement, préférant la réalité.

Assise droit sur le bord du canapé, sa queue est à seulement quelques centimètres de ma bouche, droite et immobile comme une colonne de marbre blanc. Son gland volumineux, d’un brun luisant, attire mon regard.

Ne pouvant plus résister, je l’engloutis d’un coup, l’enfonçant jusqu’au fond de ma gorge. Alex laisse échapper un long râle de plaisir, sa voix rauque vibrant à mesure que ma bouche serre sa verge avec intensité, mes lèvres glissant sur lui comme un gant doux, tandis que mon palais s’adapte à son épaisseur, et mon souffle s’emballe légèrement.

Après un moment, il retire doucement son sexe de ma bouche et me relève. Nos lèvres se joignent enfin pour un baiser profond, mêlé de soupirs discrets. Ses lèvres sont encore poisseuses du goût du durian, que je devine aussi présent sur les miennes.

Pendant que nos langues dansent en une valse sensuelle, je sens ses mains remonter le long de mes cuisses, soulevant délicatement ma robe au passage. Ses doigts effleurent mes fesses, dévoilant ma nudité. Ses mains glissent sur mon vagin, et son souffle s’accélère lorsqu’il réalise que je suis rasée. Elles remontent doucement le long de mes hanches, puis atteignent mes seins. Là, il titille mes gros tétons roses, les effleurant, les pinçant gentiment, les roulant entre ses doigts jusqu’à les sentir durcir sous ses caresses. Puis, il soulève encore ma robe, s’écarte un peu de moi et la retire d’un geste fluide vers le haut, la jetant négligemment sur le canapé.

Là, sans rien, il me contemple dans toute ma nudité. Mes cheveux en bataille, je les détache pour les laisser tomber naturellement sur mes épaules.

Alex murmure :

— Tu es très belle… et j’aime ton petit grain de beauté sur ta gorge.

Je me rapproche de lui, nos corps se frôlent, s’appellent, s’épousent. J’aime la douceur de sa peau soyeuse. Mon regard se pose sur ses tétons roses, entourés de quelques poils fins. Je les lèche un à un, sentant leurs pointes durcir sous ma langue et mes doigts.

Puis, mes bras entourant son cou, je m’empare de sa bouche, attrape sa langue que je m’applique à sucer sur toute sa longueur, goûtant encore cette saveur de durian qui s’y mêle.

Je murmure alors :

— Viens, allons dans ma chambre.

Je prends sa main et, nus comme des vers, nous montons, nous arrêtant régulièrement pour nous embrasser, comme deux adolescents épris.

Arrivés dans ma chambre, je pousse Alex sur le bord du lit, m’agenouille devant lui et soulève ses jambes.

Je contemple la raie de ses fesses beige rosé, glabre, aussi douce que celle d’une femme. Excitée, le cœur battant, j’approche ma bouche de son anus brun clair et commence à le lécher, à le sucer, à l’aspirer, m’efforçant d’enfoncer ma langue profondément. Il dégage une odeur pure, d’une hygiène parfaite.

Les soupirs profonds d’Alex m’encouragent. Son corps cambré, ses hanches qui ondulent doucement à la façon de petites vagues, me disent que ce plaisir anal l’excite vraiment.

Devant moi, ses testicules brun clair reposent comme deux gros calots bien pesants, tandis que sa longue queue, telle une colonne de marbre, pointe vers le plafond.

J’applique ma bouche sur une de ses boules, la gobe et la masse avec ma langue avant de passer à sa jumelle. Puis, je m’attaque à sa verge que je lèche entièrement. Son gland rougeoyant, plus gonflé que jamais, commence déjà à laisser échapper un peu de liquide pré-éjaculatoire. Je l’engloutis pour en goûter toute la saveur.

Je réponds aux râles d’Alex par mes propres gémissements de plaisir, ma voix se mêlant à la sienne dans une symphonie sensuelle.

Finalement, c’est lui qui prend l’initiative. Il glisse sa main sur mon visage, me regarde droit dans les yeux et murmure :

— Viens, mets-toi sur moi.

Je m’allonge sur lui en position de 69, offrant ma croupe à sa bouche. Je ne retiens pas mes petits cris aigus lorsque sa langue commence à explorer mon anus, le léchant, l’asticotant avec délicatesse. Puis, lentement, sa langue s’insinue dans mon vagin, ondulant à l’intérieur avec sensualité, m’arrachant un cri strident que je couvre en gobant le gland de sa verge.

Alors que sa langue danse dans mon intimité, je sens que je mouille abondamment. Par intermittence, le liquide pré-éjaculatoire d’Alex glisse sur ma langue, tandis que mes mains, agrippées fermement à ses cuisses, doivent lui infliger quelques griffures.

Il me caresse la vulve pendant longtemps, cinq minutes peut-être, durant lesquelles mes sons varient entre cris aigus, gémissements prolongés et respirations haletantes, saturant la pièce d’une atmosphère chargée de désir.

Au bout d’un moment, je soulève ma croupe de son visage, change de position et m’assieds sur son bassin, sa queue palpitante à l’entrée de mon vagin. Dans un souffle tremblant, je m’abandonne d’un seul mouvement, m’empalant sur lui dans un râle profond, tandis qu’Alex laisse échapper un grondement étouffé. Je commence alors à le chevaucher avec lenteur, nos regards accrochés, vitreux, perdus dans un état second. Sur ses joues et autour de sa bouche, brille encore l’empreinte humide de mon liquide vaginal.

Alors que j’intensifie mes va-et-vient, je penche mon visage vers le sien et l’embrasse avec une ferveur affamée. Nos souffles s’emmêlent, nos langues s’enlacent dans une danse brûlante où se confondent salive et gémissements. À chacun de mes soupirs, il répond par un halètement grave, comme un écho à mon propre plaisir.

Des picotements parcourent mon échine, bercée par le rythme de ses coups, la sensation de sa queue épaisse frottant contre ma paroi vaginale. Une illusion de calme et d’apesanteur m’envahit, le monde tournoyant autour de moi.

Mon orgasme éclate en vagues successives, multiples et longues, me traversant en frissons et tremblements, mon corps se contractant harmonieusement sous la déferlante de plaisir.

Je sens qu’Alex approche lui aussi de l’éjaculation. Sa verge est gonflée, palpitante dans mon vagin. Son halètement s’intensifie, son corps frémit.

Soudain, il se retire, me pousse doucement sur le lit, gémissant avec force et tremblant.

Je m’agenouille devant lui tandis qu’il se met debout, sa queue dirigée vers mon visage, déjà perlée d’un long filet de sperme. Il ne peut plus se retenir. Il me tient par les cheveux, ma bouche grande ouverte, les yeux mi-clos, encore ensorcelée par mes orgasmes successifs.

Il éjacule alors en pénétrant ma bouche. La première giclée inonde le fond de ma gorge. La quantité est telle que je perds une partie de ce liquide en bavant.

Puis il se retire, et une seconde giclée m’arrose le visage, les yeux, le nez, les joues.

Plusieurs jets abondants suivent, coulant sur mon menton, glissant entre mes seins et le long de mon ventre.

Alex replonge sa verge dans ma bouche, délivrant les dernières giclées, moins abondantes. Mes bras entourent ses hanches, caressant ses fesses dures comme la pierre. Son corps tremble.

J’avale son sperme avec une gourmandise manifeste, ponctuée de gémissements prolongés. Brusquement, une nouvelle vague d’orgasme monte en moi.

Cet orgasme se conclut par une éjaculation intense, une véritable fontaine qui trempe les draps. Je me vide totalement, surprise et ravie de découvrir que cette avalanche de sperme sur mon visage et dans ma bouche a déclenché la fontaine en moi, au même titre que la pénétration anale.

Une fois qu’Alex a terminé son éjaculation, je m’assieds sur le lit, essuyant mes yeux du bout des doigts pour les débarrasser du liquide séminal et retrouver une vision nette.

Alex s’installe en face de moi. Nos regards se croisent, s’accrochent, et j’enroule mes jambes autour de ses hanches pour rapprocher nos corps. Mes bras se glissent autour de son cou, l’attirant encore un peu plus contre moi.

Délicatement d’abord, puis avec plus d’avidité, il lèche mes joues, mon nez, mes lèvres, ramassant chaque trace de son nectar avec sa langue avant d’écraser sa bouche contre la mienne. Nos langues, poisseuses de foutre, s’entremêlent dans une danse languissante.

Plongée dans un état second, je m’entends murmurer : « Mon amour… »

Ma main se referme sur sa bite. À peine a-t-elle molli qu’elle se redresse déjà, dure, épaisse, pulsante, dressée vers le haut.

Pendant que je la branle lentement, il continue de me lécher le visage, glissant sa langue partout, puis m’embrasse encore. Il me nettoie, lentement, soigneusement, avant de m’envoyer sa semence dans la bouche. J’en recrache une partie sur sa queue pour la lubrifier.

Haletante, les lèvres tremblantes, je répète :

— Mon amour… jouis encore pour moi…

J’accélère mes mouvements, ma main va et vient plus vite sur sa bite, et Alex gémit plus fort, la tête renversée en arrière. Il se cambre, s’ouvre pour me laisser toute la place, m’offrant sa queue pour que je la travaille comme je veux. Quelques secondes plus tard, il jouit à nouveau, dans un râle étouffé cette fois. Nous suivons du regard le sperme qui s’écoule lentement, chaud et épais, le long de sa verge et sur mes doigts tremblants.

Je le fixe dans les yeux tandis qu’il halète encore de plaisir ; je veux qu’il voie à quel point je savoure son essence virile avec gourmandise. Je porte mes doigts à ma bouche et, sans détourner le regard, je lèche chaque goutte lentement, gémissant de plaisir. Je suce mes doigts un à un, les aspire, les mordille, les fais glisser entre mes lèvres comme si c’était sa queue, pleinement consciente qu’il me regarde sans jugement, avec ce mélange de respect et de désir brut qui me fait frissonner.

Et comme s’il voulait encore me montrer combien il aimait son propre sperme, il vient m’embrasser goulûment, mêlant tendresse et passion. Un baiser profond, chaud, humide, baveux, qui nous laisse haletants et brûlants l’un contre l’autre.

Nos corps finissent par s’apaiser. Nous ralentissons notre souffle, tout en prolongeant notre baiser, comme pour rester soudés, unis.

Finalement, nos lèvres se séparent. Nous nous regardons, sourions, puis nous nous rapprochons pour un long câlin, savourant ce moment de fusion et de complicité.

Soudain, Alex me pose une question qui me prend de court :

— Est-ce que ton sugar daddy te satisfait aussi bien que moi ?

Je le fixe un instant, troublée. Son visage juvénile, presque angélique, contraste avec l’audace de sa question. Son regard bleu, intense et curieux, son nez délicat, sa bouche aux lèvres fines et terriblement séduisantes… tout en lui m’attendrit autant qu’il m’attire. Je choisis de répondre sans détour :

— Il n’est pas comme toi. Il ne me fait pas l’amour. Lui, il me baise.

— Et tu aimes ça ?

Je prends une seconde pour y réfléchir, puis laisse tomber la vérité, nue et simple :

— Oui, j’aime ça. Je marque une pause, avant d’ajouter dans un souffle : Mais avec lui, il n’y a rien d’autre, je n’ai pas d’avenir. Je ne suis pas amoureuse. C’est juste de la baise.

Le silence retombe un instant, seulement troublé par nos souffles mêlés. Nos corps s’attardent l’un contre l’autre, prolongent l’étreinte avec une douceur nouvelle. Puis Alex rompt la gravité de l’instant d’un sourire espiègle :

— Ovaline, il serait peut-être temps d’aller se doucher, non ? Je crois qu’on sent un peu trop le sexe…

Je pouffe de rire, plonge mon regard dans le sien et propose :

— On se douche ensemble ?

Il me taquine aussitôt :

— Tu ne veux plus te séparer de moi ? Tu sais que tu m’as appelé « mon amour » à plusieurs reprises… Ton sugar daddy va être jaloux…

Je fais mine de lui pincer un téton, puis, d’une voix douce et un peu hésitante, je miaule :

— Alex… je ne m’en souviens plus vraiment… La tête baissée, je ne sais plus quoi dire, mais je crois qu’il a raison. Je crois que je suis un peu amoureuse de lui. J’espère de tout mon cœur qu’il voudra rester dormir avec moi cette nuit.

Il acquiesce enfin :

— Alors allons nous doucher ensemble.

Nous nous levons et rejoignons la salle de bain attenante, spacieuse, dotée d’une grande douche à l’italienne aux parois transparentes. Nous entrons sous le jet d’eau qui tombe d’un large pommeau au plafond. L’eau est froide au début, et je retiens un petit cri, puis elle se réchauffe rapidement. Je lui indique de passer dessous en premier.

Je choisis un gel douche à l’odeur de pêche que j’affectionne, et commence à lui savonner le torse pendant qu’Alex fait de même pour ses cheveux et son visage.

Lorsque j’attaque ses parties intimes, sa queue mi-molle se redresse aussitôt, dure et palpitante. Je souris, amusée, et lui lance :

— Alex, tu bandes encore.

Sa bite glisse sous mes doigts, longue, épaisse, le gland rougi et gonflé. Il me répond avec un sourire espiègle :

— C’est ta faute, tu n’arrêtes pas de m’exciter…

Je m’approche de lui sous le jet d’eau et l’embrasse avec fougue tout en le masturbant.

Soudain, il m’attrape par le cou, me plaque contre la vitre de la douche, et passe sa main entre mes fesses pour trouver mon vagin. Un doigt y pénètre, puis il le retire et place sa queue à l’entrée de mon orifice. Je me cambre pour lui faciliter l’accès, et il m’empale de toute sa longueur, m’arrachant un cri aigu.

Ses baisers brûlants dans mon cou, mon oreille, ma joue et mes lèvres me consument. Nos langues s’enlacent, mêlant salive et désir, tandis qu’il me ramone sans retenue. Il accélère le rythme, mes gémissements répondent aux siens, et bientôt mon corps tressaille, secoué par des vagues de plaisir.

Il demeure en moi, immobile, attendant que mon orgasme s’apaise, sa verge profondément ancrée en mon vagin, avant de se laisser aller à son tour. Lorsque sa jouissance éclate, je sens son sperme chaud se répandre en moi, chaque pulsation de sa chair vibrant contre la mienne et me comblant jusqu’à la moindre fibre.

Alors qu’il pousse un dernier râle de plaisir, sa langue encore enlacée à la mienne, il retire sa queue de mon vagin, mais son corps tremble encore contre le mien.

— Allez, on se douche pour de vrai maintenant, murmure-t-il.

Nous poursuivons notre toilette, nous savonnant mutuellement, échangeant baisers et caresses tendres sous l’eau chaude qui nous masse et nous détend.

Une fois propres, je lui tends une serviette et une brosse à dents neuve. Nous nous séchons et nous brossons les dents, conscients que nous en avons bien besoin.

La bouche pleine de dentifrice, j’ose poser la question, la voix à peine audible :

— Tu veux rester dormir avec moi ce soir ?

Il m’observe un instant, semblant réfléchir en se brossant les dents, puis finit par lâcher dans un langage aussi indistinct que le mien :

— Tu veux que je reste ?

Je ralentis mes gestes, le regard suppliant, et baragouine :

— Oui, reste avec moi, s’il te plaît.

Il répond simplement :

— D’accord, je reste.

Souriante, je lui dis :

— Fini de te préparer, je change les draps du lit.

Après m’être rincé la bouche, je vais chercher un jeu de draps propres dans l’armoire, et refais le lit. Épuisée, je m’allonge et m’empare de mon téléphone. Il m’indique 22h20.

Alex me rejoint. Dès qu’il s’allonge, je me blottis contre lui et il m’enserre dans ses bras câlins.

Nous échangeons un baiser passionné, parfumé de menthe fraîche. Entre mes cuisses, je sens sa queue se raidir, mais la fatigue nous pèse trop.

Je savoure sa langue, douce et insistante. Mes paupières se ferment sous l’épuisement, et je m’endors apaisée dans ses bras, sa langue encore enfoncée dans ma bouche.

Je rêve qu’un courant électrique secoue mon corps, et que j’urine.

Brusquement, je me réveille en sursaut. Il fait totalement noir et je pense que nous sommes au milieu de la nuit. Allongée sur le côté en chien de fusil, nue, sans aucun drap, ma raie des fesses bien ouverte dévoile mon anus et ma fente. Alex est là, alternant entre des coups de langue précis sur mon anus et des incursions sensuelles dans mon vagin. Je murmure son prénom, les yeux à demi-clos, tandis qu’une vague intense de plaisir envahit chaque fibre de mon être.

Il finit par se glisser contre moi, lui aussi en chien de fusil, collé à mon dos. Je sens sa verge dure et raide glisser dans la raie de mes fesses. Ses mains m’enlacent avec force, pétrissent mes seins fermes. Je relève la tête vers lui, en quête de ses lèvres. Il balaie mes cheveux du visage, puis sa langue s’aventure sur mon cou, glisse le long de ma gorge, effleure ma joue avant d’atteindre mes lèvres.

Je les entrouvre pour accueillir sa langue brûlante qui s’enfonce dans ma bouche. Ses lèvres sont imprégnées de mon essence vaginale, et un gémissement rauque s’échappe de ma gorge. Son corps irradiant de chaleur se presse contre le mien, son souffle haletant embrase ma peau, son sexe en feu réclame chaque parcelle de moi.

D’un coup de rein, il l’enfonce profondément en moi, me faisant pousser un cri aigu d’extase. Lentement, avec une douceur maîtrisée, il effectue ses va-et-vient, pendant que ses doigts habiles tortillent mes tétons durcis, et que sa langue tournicote avec la mienne dans une étreinte charnelle.

En moins de trois minutes, l’orgasme m’engloutit. Il monte, brutal et impitoyable, éclate dans mon ventre et explose dans chaque nerf. Je hurle, mon dos se cambre violemment, mon corps est secoué de spasmes incontrôlables, tandis qu’une chaleur fulgurante m’envahit, me consume tout entière.

Presque au même instant, Alex jouit à son tour. Son cri rauque résonne à mon oreille, son corps se tend contre le mien, ses muscles tremblent sous l’assaut du plaisir. Je sens sa semence brûlante m’inonder, se répandre en moi comme un feu liquide.

Nous restons ainsi, immobiles, silencieux. Sa verge, ramollie, glisse d’elle-même hors de moi. Je me rendors bientôt, bercée par la chaleur de son souffle sur ma nuque, le cœur encore battant au rythme de notre fièvre.

Fin de ce chapitre

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Le nombre total de chapitres du roman Ovaline reste encore inconnu : ce livre se construit au fil du temps, façonné par vos désirs et ceux de l’écrivaine. Laissez libre cours à votre imagination : dans les commentaires, partagez vos envies, vos fantasmes, vos suggestions de rencontres ou d’aventures érotiques. Peut-être retrouverez-vous vos scènes rêvées dans les chapitres à venir, tissés au fil des désirs et des confidences.



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