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Ovaline – Chapitre 13 : Première pénétration vaginale

Publié le lundi 08 décembre 2025 dans « Ovaline »


Ovaline – Chapitre 13
Ovaline – Chapitre 13 : Première pénétration vaginale

Soudain, je me réveille, et un conglomérat d’images me revient en mémoire : Ploy, qui m’a menée à l’orgasme hier, son regard abasourdi quand je lui ai éclaboussé le visage, puis notre conversation, et enfin le rendez-vous que je lui ai donné ce matin pour rencontrer Pauline…

Mes yeux s’ouvrent en grand.

Un léger grattement à la porte de la chambre me tire complètement du sommeil, et je comprends que c’est ce bruit qui m’a réveillée. Dans la pénombre, je distingue le visage de Ploy apparaissant timidement dans l’embrasure de la porte.

Sous un fin drap blanc, je suis blottie contre Pauline, ou peut-être est-ce elle qui se serre contre moi, je ne sais pas. Nos visages se frôlent, nos souffles se mêlent, paisibles.

D’un geste de la main, j’invite Ploy à entrer.

Vêtue d’un survêtement rose et blanc qui lui donne une allure résolument sportive, les cheveux relevés en une queue-de-cheval haute, Ploy s’avance, dépose son sac de sport au sol, puis vient s’asseoir près de moi, sur le bord du lit. Je me dis que son sac contient sa tenue de travail. Avide de baisers matinaux, je tends les deux mains vers elle, agite les doigts et pousse délibérément des petits gémissements enfantins. Ploy sourit, comprenant ce que je réclame. Elle se penche sur moi et accueil ma langue dans sa bouche, qu’elle suce avec une ardeur douce et maîtrisée, elle sait que j’aime ça, et son haleine sent comme un bouquet de fleurs.

Quelques secondes plus tard, elle chuchote pour ne pas réveiller celle qui dort profondément dans mes bras :

— Bonjour nong sao (petite sœur).

Je lui rends un sourire timide, puis je bâille en m’étirant doucement. D’un geste, je retire le drap qui recouvre à moitié le visage de Pauline.

— Regarde tirak, c’est Pauline.

Pauline dort toujours, paisible, le visage détendu. Je repousse délicatement une mèche de ses cheveux sur le côté et dis à Ploy :

— Regarde comme elle est belle, elle a un joli grain de beauté sur la joue.

Pour la réveiller tendrement, je dépose des baisers sur ses lèvres, sa joue, son cou, tout en lui murmurant d’une voix douce :

— Réveille-toi, mon amour… réveille-toi, mon trésor… réveille-toi, mon cœur… réveille-toi, petite marmotte.

Au bout d’un moment, alors que je lui mordille l’oreille, Pauline gémit, entrouvre les yeux. Elle s’éveille, tout comme son érection que je sens grandir contre ma cuisse.

Je la regarde, attendrie. Pauline est presque toujours en érection. Ploy l’ignore, mais quelques heures plus tôt, en pleine nuit, elle m’a prise. Pour ma part, je n’ai pas joui, mais je la laisse me pénétrer quand bon lui semble. Je l’accueille dans mon vagin, mon anus ou ma bouche, selon ses envies, sans jamais m’en offusquer. Elle est jeune, constamment sur le point d’éjaculer, et je me prête volontiers à ses désirs. Ses orgasmes sont fréquents, libérant de grandes quantités de sperme. C’est une découverte quotidienne de son corps, un jeu constant auquel elle se livre avec passion. Cela me fait sourire, je l’aime, je trouve cette frénésie attendrissante, et je ne rechigne jamais à lui offrir mon corps pour assouvir ses fantasmes.

J’embrasse Pauline longuement sur la bouche, aussi pour vérifier son haleine du matin. Rien à signaler, l’air qu’elle expire est tiède, doux, presque sucré. À son âge, elle dégage encore cette fraîcheur insolente du réveil. Elle est délicieuse, en toute circonstance.

Finalement, je me tourne vers Ploy et lui demande doucement :

— Tu veux l’embrasser ?

Pudique, Pauline enfouit son visage dans mon cou, mais son érection ne trompe pas : je sens contre ma cuisse sa bite dure comme une batte de baseball.

De son côté, Ploy hésite. Elle esquisse un sourire discret, incertaine quant à la manière de procéder. Pourtant, son regard trahit une forte attirance pour Pauline, que je lis clairement dans son trouble.

Pour dissiper leur timidité, je prends doucement la main de Ploy et lui murmure :

— Viens, embrasse-moi d’abord.

À l’aise avec moi, elle se penche sur mon visage. Je lèche d’abord le petit grain de beauté au coin de sa bouche qui me chavire à chaque fois, avant que nos lèvres ne se dévorent avec ardeur, offrant à Pauline un spectacle délicieux et sensuel.

Puis, d’un geste délicat mais décidé, je saisis Ploy par la gorge et guide son visage vers Pauline. Celle-ci ne résiste pas, leurs lèvres se frôlent, se goûtent avec curiosité. Pauline est la première à ouvrir la bouche, sa langue caresse doucement les lèvres de Ploy. Cette dernière, stimulée par la sensation humide, ouvre grand sa bouche pour laisser leurs langues s’entrelacer dans une danse langoureuse et brûlante. Leurs souffles s’accélèrent, mêlés dans une chaleur humide. Tandis que la passion monte, leurs baisers deviennent plus profonds, plus avides, et leur connexion plus électrique.

Sous mon regard attendri, des filets de salive s’échappent, roulant le long de leurs lèvres, tandis que leurs mains commencent à se chercher, à s’attraper, amplifiant encore cette fusion sensuelle et enivrante.

Voyant qu’elles s’abandonnent déjà à un univers qui semble n’appartenir qu’à elles, je m’interpose doucement, rompant leur étreinte d’une main apaisante, de peur que leurs lèvres ne demeurent scellées pour l’éternité.

Je dis à Ploy, dont le regard semble égaré dans le vertige du moment :

— Déshabille-toi, tirak.

Sous nos regards attentifs, Ploy se déshabille lentement, glissant ses vêtements un à un jusqu’à enlever sa jolie petite culotte à moitié transparente. Chaque geste semble empreint d’une pudeur hésitante. Lorsqu’elle se tient enfin nue, debout à côté du lit, la lumière matinale glisse sur sa peau ambrée, révélant la douceur de ses formes et l’harmonie tranquille de son corps. Pauline et moi admirons le dessin de ses jambes, la courbe de ses hanches, le galbe de ses fesses, la fente juvénile de son sexe, son ventre plat, ses seins fermes et rondelets aux larges aréoles marron, dotés de gros tétons. Outre le petit grain de beauté au coin de sa bouche, un autre charme sous son sein gauche, et un troisième se love près de son adorable nombril percé d’une jolie pierre verte sertie.

Après quelques secondes d’un silence admiratif, je fais glisser le drap jusqu’aux pieds du lit, nous dévoilant nues, ainsi que l’érection fière de Pauline.

À la vue du sexe de Pauline dressé comme un piquet de tente, Ploy reste un instant figée, les lèvres entrouvertes, le souffle court, le rouge lui montant aux joues.

Je tends la main vers elle et lui murmure :

— Viens, allonge-toi entre les jambes de Pauline, je vais te montrer comment lui donner du plaisir.

À la manière d’un félin, Ploy grimpe sur le lit à quatre pattes, puis se glisse délicatement à la droite de Pauline, le visage au niveau de sa taille, tandis que je m’étends de l’autre côté, à sa gauche. Délicatement, je saisis la verge de Pauline entre mes doigts, amorce de lents mouvements de va-et-vient, puis me penche vers Ploy pour lui chuchoter :

— Fais comme moi, tirak.

Je relâche doucement la verge de Pauline pour la confier à Ploy, qui commence à la caresser lentement. Je la laisse jouer avec un moment, appréciant chacun de ses gestes. Puis, je reprends la queue entre mes mains, l’engoule jusqu’à la racine, et effectue des mouvements de bouche, prenant soin de l’humidifier abondamment de ma salive pour faciliter le glissement et rendre la fellation plus agréable. Ensuite, j’oriente la verge vers Ploy en lui murmurant :

— À ton tour, suce sa bite.

Ploy hésite un instant, puis avance la tête, sort délicatement la langue pour léchouiller le gland, comme pour en explorer la texture et le goût. Elle recule, reprenant son hésitation, avant de recommencer. Finalement, elle ouvre la bouche, enveloppe la verge et entame de lents mouvements de va-et-vient.

Je guide Ploy dans l’art délicat et sensuel de la fellation. Je lui montre comment parcourir la verge de la langue, comment téter le gland en l’aspirant doucement pour le faire gonfler et durcir, tout en stimulant la colonne du pénis avec la main. J’insiste sur l’importance de bien humidifier la verge avec de la salive afin de faciliter la pénétration vaginale. Je lui apprends aussi à envelopper et masser les testicules avec la langue. Pendant cet exercice, chacune de nous tient une boule de Pauline dans la bouche, que nous amusons à malaxer, produisant toutes sortes de petits bruits complices qui nous font rire.

Nous alternons entre sucer Pauline à tour de rôle ou en même temps. Nos gestes varient entre suçons doux et pressions plus fermes le long du pénis, en intégrant de petites aspirations pour faire gonfler le gland. Nous modulons rythmes, pressions et mouvements, passant des va-et-vient classiques aux rotations et mouvements en vrille, pour éviter la monotonie et maintenir l’excitation.

Par intermittence, je pose un regard sur Pauline, la tête calée contre un oreiller, son visage tendu, crispé, ses yeux implorants, et l’image du garçon de quatorze ans qu’elle était autrefois resurgit dans ma mémoire. Sur un ton ironique, un sourire narquois aux lèvres, je lui lance :

— Alors, ça va ? Tu te sens bien ? Ça ne te dérange pas que deux jolies filles s’occupent de toi ?

En guise de réponse, Pauline émet toutes sortes de petits couinements. Je devine qu’elle fait un effort surhumain pour maîtriser son éjaculation, concentrée à ne pas envoyer la sauce trop tôt.

Je m’adresse alors à Ploy, lui ordonnant d’interrompre ses mouvements de bouche autour de la verge de Pauline, lui expliquant que si elle continue à la stimuler aussi intensément, elle risque de déclencher prématurément son éjaculation. Je l’invite plutôt à se blottir contre Pauline, en position de chien de fusil, pour que cette dernière puisse la pénétrer par derrière. À mon sens, c’est la posture idéale pour une première fois : elle permet une pénétration douce, intime, tout en laissant place à une parfaite complicité et à des caresses simultanées.

Ploy me fait confiance et obéit sans hésiter. Elle s’allonge sur le côté, tandis que Pauline vient se coller à elle par derrière, épousant les courbes de son corps avec tendresse. Je lui lève une jambe pour offrir son vagin à Pauline. Du liquide vaginal, clair et propre, dégouline en un filet généreux, témoignant de son excitation. Je souris à la vue de cette abondance, certaine que ce vagin vierge sera pénétré pour la première fois par un bâton de chair, bien différent des sex-toys en plastique que je lui ai donnés.

Avec une grande douceur, je guide la verge salivante de Pauline à l’entrée de l’orifice de Ploy. D’un coup de rein précis et mesuré, Pauline s’enfonce en elle avec une aisance déconcertante, tandis que Ploy, le corps traversé de frissons, laisse échapper de sa gorge un gémissement profond, presque animal.

Portée par les soupirs de Ploy, Pauline amorce des mouvements de va-et-vient lents, précis, empreints de tendresse. La tête rejetée en arrière, Ploy lui offre sa bouche, et leurs langues s’entrelacent dans un ballet érotique, tandis que des cris étouffés s’échappent de leur gorge.

Fascinée par la beauté de leur union, je me penche sur le triangle formé par le clitoris en érection de Ploy, sa fente entrouverte et l’orifice vaginal pilonné par la queue de Pauline. Excitée, je viens lécher ce triangle, m’attardant sur le clitoris gorgé de sang, dont le capuchon est décalotté, que je stimule avec la pointe de ma langue.

Ploy n’est plus qu’un cri prolongé, entre couinements et gémissements. Abandonnée dans les bras de Pauline, elle halète comme une forge dans sa bouche. Pauline, en réponse, lui malaxe les seins et cajole ses gros tétons avec une délicatesse incendiaire. Les paupières closes, Ploy semble avoir perdu toute notion de lieu, de temps, ou même d’elle-même. Elle ne se rend même plus compte des cris qui s’échappent de sa gorge, si bien que je dois me lever précipitamment pour fermer la fenêtre, craignant que nos voisins ne les entendent.

Quand je reviens sur le lit, le corps de Ploy s’anime soudain sous l’effet d’une puissance intérieure qu’elle ne contrôle plus. Ses muscles se contractent en une danse spasmodique, ses cuisses se serrent, ses jambes se tendent, tandis que ses fesses, fermes et rebondies, se durcissent. Une chaleur intense remonte de son bassin, enveloppant chaque fibre de son être, alors que des gémissements sourds s’échappent de ses lèvres entrouvertes. Tandis que son périnée se resserre et relâche, envahissant son vagin d’une série de spasmes, l’extase la submerge, chaque ondulation en elle devient une vague déferlante. Elle laisse échapper des gémissements sourds et puissants, presque sauvages, exprimant un plaisir total, un abandon à l’instant présent qui semble suspendre le temps et transformer l’espace en un sanctuaire de plaisir partagé. Finalement, son corps se tend, tremble une dernière fois, puis finit par se relâcher progressivement, la déposant dans une douce léthargie, le visage rayonnant d’une intense satisfaction.

Ploy halète encore quelques instants, cherchant à ralentir son souffle, puis tourne à nouveau son visage vers Pauline, qui a cessé de pilonner son vagin. D’une voix douce et tremblante, elle murmure :

— Mon amour… Mon amour…

Leurs bouches se retrouvent, leurs langues s’entrelacent dans une danse délicate et passionnée. Je les laisse s’embrasser longuement, le temps que le corps de Ploy retrouve son calme. Puis, je m’adresse à Pauline avec tendresse :

— C’est bon, mon cœur, elle a joui. Tu peux te finir et éjaculer dans sa bouche.

D’un coup de rein, Pauline se dégage du vagin de Ploy pour se placer au-dessus d’elle, dans la position du missionnaire. Elle soulève avec douceur ses jambes et l’empale d’un coup précis. Tandis qu’elle la pilonne à son tempo, je m’allonge à côté de Ploy et approche mes lèvres des siennes tout en caressant ses seins. Un souffle chaud s’échappe de sa bouche entrouverte. Les yeux mi-clos, une main serrant la mienne jusqu’à la broyer, elle me halète au visage, et tandis qu’elle s’évertue d’étouffer les couinements qui s’échappent de sa gorge, Pauline s’écrie soudain :

— Je vais jouir, je vais jouir.

Je souris intérieurement. Je ne sais pas pourquoi Pauline annonce toujours lorsqu’elle va jouir. Peut-être est-ce une façon tacite de prévenir sa partenaire, lui laissant ainsi le temps de lui demander de se retenir, au cas où elle n’aurait pas encore atteint son propre orgasme…

Rapidement, Pauline se retire de Ploy et vient se placer à califourchon au niveau de sa poitrine pour positionner sa verge juste au-dessus de nos bouches, toutes deux grandes ouvertes et collées l’une contre l’autre au niveau de la commissure.

Appréhensive face à la première éjaculation faciale qu’elle s’apprête à recevoir, Ploy agrippe fermement la main de Pauline et laisse échapper une série de petits couinements tremblants.

De mon côté, je saisis prestement la queue de Pauline juste au moment où elle éjacule en poussant un râle rauque sans fin. Le premier jet, le plus puissant, est pour moi. La chaleur du liquide abondant, onctueux, glisse sur ma langue et coule jusqu’au fond de ma gorge. Je l’avale avec délectation. Les jets suivants, moins intenses mais généreux, sont destinés à Ploy. Le sperme gicle sur son visage et se répand en quantité dans sa bouche, tandis que son corps, pris de soubresauts, se met à trembler. Je me demande bien si c’est un second orgasme ou l’intensification du premier.

Une fois l’éjaculation terminée, je repousse gentiment Pauline et prends sa place sur Ploy. Là, telle quelle, elle paraît une nouvelle fois traumatisée, comme hier lorsque je lui ai moi-même éjaculé dessus. Tandis que sa bouche halète, écumante, je lui lèche doucement le visage, aspirant le foutre que je garde en bouche. Une fois sa peau bien nettoyée, je le recrache dans sa bouche, puis l’embrasse avec volupté pour un profond baiser de sperme.

Après de longues secondes durant lesquelles nous gémissons à l’unisson, Ploy dessoude ses lèvres des miennes et réclame Pauline.

Je la libère de mon emprise et me lève du lit. Attentionnée, Pauline s’allonge près d’elle et la prend tendrement dans ses bras. Ploy s’accroche à elle, tremblante, les yeux embués. Peut-être que sa première confrontation avec une bite, sa première pénétration vaginale, suivie d’un orgasme intense et d’une éjaculation faciale, ont été trop d’un coup. Elle cherche maintenant réconfort, amour et chaleur humaine, qu’elle trouve dans les bras de Pauline, vers qui son cœur semble déjà pencher. L’amour, dit-on, est une affaire de chimie entre deux corps, et mon instinct me souffle que ces deux-là sont faits pour s’aimer.

Je choisis de les laisser seules dans cette intimité, enfilant ma robe de chambre avant de descendre à la cuisine pour me préparer un café.

Alors que je savoure le breuvage, le regard perdu dans la végétation du jardin à travers la fenêtre, je me dis que Ploy et Pauline vont parfaitement ensemble. Bien que les doigts, la langue et les sex-toys offrent leur part de plaisir, je pense que rien ne peut vraiment remplacer la sensation authentique d’une queue en érection, prête à libérer sa semence, un désir que Ploy semblait avoir depuis longtemps. Pauline, avec la délicatesse et la sensibilité d’une femme, saura combler Ploy et l’accompagner vers l’extase. De son côté, Ploy saura canaliser la fougue passionnée de Pauline et prendre soin de sa queue frétillante, perpétuellement en érection. Ensemble, elles auront tout le loisir d’explorer les richesses du Kamasutra. Quant à moi, je pourrai me consacrer pleinement à Alex, mon nouveau petit ami, et à mon sugar daddy, qui arrivera bientôt.

Soudain, mon téléphone sonne, m’extirpant de mes réflexions. Je reçois un message d’Alex : « Bonjour Ovaline, comment vas-tu ce matin ? Es-tu réveillée ? Je pense à toi et je t’embrasse. » Pour toute réponse, je me prends en selfie en train de boire une gorgée de café et je lui envoie, accompagné d’un mot doux : « Je t’embrasse très fort aussi. »

Je remonte ensuite dans ma chambre et découvre Ploy et Pauline enlacées, leurs visages proches s’échangeant des baisers tendres et des mots doux que je ne peux pas entendre. Pauline est encore en érection, sa bite glissant le long du ventre de Ploy, qui s’amuse à dessiner des cercles autour du gland dénudé avec ses doigts. Ce spectacle me réchauffe le cœur.

En regardant l’heure, je lance sur un ton péremptoire :

— Allez, séparez-vous les amoureux. Dis donc, Pauline, tu ne vas pas être en retard pour l’université toi ?

Au son autoritaire de ma voix, Pauline sursaute, attrape son téléphone posé sur la table de chevet : il est 8h15. Elle bondit hors du lit, sous le regard amusé de Ploy qui rit doucement. Elle enfile sa petite culotte en relevant sa bite vers le haut, car elle bande encore, puis sa jupe et son chemisier. Sans prendre le temps de nous dire au revoir, elle file en bas. La porte claque. Son scooter démarre.

Je rassure Ploy :

— Ne t’inquiète pas, elle est toujours comme ça. Elle n’arrive jamais à l’heure aux cours, ses professeurs doivent en avoir assez… Viens, on va se doucher ensemble si tu veux.

Ploy se lève, et pendant que je jette ma robe de chambre sur le lit, nous nous dirigeons, nues, vers la salle de bain.

— Wow, elle est immense… tu as même une baignoire, c’est très joli ! s’exclame Ploy en entrant.

Sous la douche, enlacées, nous laissons l’eau chaude caresser notre peau. Au bout d’un moment, je confie à Ploy que j’ai une envie pressante de faire pipi, elle répond qu’elle aussi. Complices dans nos jeux sexuels, nos corps se rapprochent, nos seins se touchent, nos vagins se pressent l’un contre l’autre, et nous nous laissons aller à uriner. Un frisson parcourt nos épidermes, suivi d’un soupir partagé de soulagement, tandis que l’urine tiède ruisselle le long de nos jambes. Dans cet abandon total, nos lèvres se retrouvent dans un baiser profond et langoureux.

Après avoir terminé, Ploy me lance avec malice :

— Ton haleine sent le café…

Je rétorque aussitôt :

— Et toi, tu sens le sperme.

Nous éclatons de rire, puis nous savonnons mutuellement, nos mains malaxant nos seins avec un gel douche parfumé aux notes d’ylang-ylang et de vanille que j’adore. Ploy entreprend de me savonner les épaules, les bras, le ventre, puis ses mains descendent sur mes fesses. Elle glisse doucement les doigts dans la fente de ma chatte, me retourne, puis passe une main dans la raie de mes fesses avant d’enfoncer soudain un doigt dans mon cul. Lubrifié par le savon, il s’insère tout seul, et je pousse un petit couinement.

Ploy demande :

Nong Sao, tu n’as pas eu d’orgasme, tu veux que je te fasse jouir ?

— Non tirak, ne t’en fais pas, je me réserve pour Alex.

Ploy retire son doigt de mon anus.

— Tu le vois ce soir ?

— Je ne suis sûre. On ne se voit pas tous les jours. On se laisse une certaine liberté.

— Il est comment ? Il est bien monté ? Il te la met dans le cul ?

Je ne peux m’empêcher de rire :

— Oh non, tu sais, il a une bite de vingt centimètres. Je ne peux pas la prendre dans le cul !

Ploy s’exclame :

— Vingt centimètres ! OMG (Oh My God) !

Je fais pivoter doucement Ploy, puis laisse mes mains glisser sur ses épaules. Sous la mousse délicate, je savonne lentement son dos, suivant les courbes de sa peau avec tendresse.

— Oui, il est monté comme un âne. Il me plaît beaucoup. Je pourrais te le présenter si tu veux, on pourrait faire un plan à trois… Pauline pourrait même se joindre à nous…

— Pauline connaît Alex ?

— Oui. On a baisé une fois ensemble.

Ploy baisse la tête, silencieuse, peut-être un peu déçue d’apprendre que Pauline trempe dans toutes les combines sexuelles…

Pendant que je shampouine ses cheveux, elle finit par demander d’une voix douce :

— Tu crois que Pauline voudra me revoir ?

Je sens Ploy complètement bouleversée. Je me dis que Pauline a fait un travail remarquable en la guidant vers un orgasme intense, peut-être même plusieurs… Elle lui a littéralement retourné le cerveau. Percevant son anxiété, je la rassure :

— Oui, j’en suis sûre. Tu sais, je lui ai donné ton identifiant LINE… J’ai bien fait ?

— Oui, merci. J’espère qu’elle me contactera…

Nous sortons de la douche. Je tends à Ploy une serviette propre et une brosse à dents neuve. En même temps, je songe qu’il faudra que j’en rachète. À force d’en distribuer aux uns et aux autres, il n’en restera bientôt plus une seule dans le tiroir.

Une fois prêtes, de retour dans la chambre, Ploy consulte son téléphone, alertée par une notification. Un large sourire éclaire aussitôt son visage.

— C’est Pauline, elle a ajouté mon contact. Regarde ce qu’elle m’a écrit :

« Je suis arrivée à l’université. Merci Ploy, j’ai beaucoup aimé ce matin. Tu es très belle, très douce et très gentille. J’espère qu’on pourra se revoir. »

Ploy me serre les mains, rayonnante. Je lui souris en retour et l’encourage :

— Allez, habille-toi, on doit partir travailler. La journée s’annonce chargée, on attend un groupe de touristes chinois aujourd’hui.

Fin de ce chapitre

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Le nombre total de chapitres du roman Ovaline reste encore inconnu : ce livre se construit au fil du temps, façonné par vos désirs et ceux de l’écrivaine. Laissez libre cours à votre imagination : dans les commentaires, partagez vos envies, vos fantasmes, vos suggestions de rencontres ou d’aventures érotiques. Peut-être retrouverez-vous vos scènes rêvées dans les chapitres à venir, tissés au fil des désirs et des confidences.



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